A la question «approuvez-vous ou désapprouvez-vous le choix de François Hollande de ne pas être candidat à l'élection présidentielle de 2017», 82% des Français interrogés ont dit «approuver» la décision du chef de l'Etat. 4% en revanche, la «désapprouvent» et 14% répondent «ni l'autre ni l'autre».
Chez les sympathisants de gauche, ils sont 86% à «approuver», 88% chez les sympathisants de la droite et du centre, 84% chez les sympathisants du Front national.
Interrogés sur «la personnalité» que les sondés souhaiteraient voir désignée à l'issue de la primaire organisée par le Parti socialiste et ses alliés pour choisir leur candidat à l'élection présidentielle de 2017, les personnes interrogées placent Manuel Valls en tête avec 24% des voix (+5% par rapport au précédent sondage du 21 novembre) devant Arnaud Montebourg, 14% (=) et Benoît Hamon, 6% (+1%).
Auprès des sympathisants de gauche, Manuel Valls est crédité de 33% d'opinions positives (-1% par rapport au précédent sondage du 21 novembre) devant Arnaud Montebourg (20%, +3%) et Benoît Hamon (13%, +4%).
Enfin, à l'issue de la primaire, 50% des sondés préféreraient voir désigner Manuel Valls plutôt qu'Arnaud Montebourg (42%) pour représenter la gauche à l'élection présidentielle de 2017.
Enquête réalisée en ligne du 1er décembre - après l'intervention télévisée de François Hollande - au 2 décembre, auprès de 803 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
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Pour ma part , je n’y croyais pas. Je pensais que Hollande pouvait encore rassembler ses troupes et l’emporter en tirant profit de l’état récurrent de la droite la plus courbe- et fourbe- du monde. Valls, ne pensant qu’à lui-même, ne l’ a pas voulu ainsi et a forcé Hollande à partir, en menaçant la France d’une crise institutionnelle à un moment où elle n’en a pas vraiment besoin.
Il va falloir au premier Ministre de l’échec assumer seul celui-ci, et assumer son « parricide » devant son parti . Cela fait beaucoup pour de si petites épaules crispées , fussent-elles dopées par les média.
Cela ne peut que profiter à son homologue de l’échec de feu l’UMP , et aurait pu profiter à Madame Le Pen sans l’ombre -elle aussi!- du parricide.
En tout cas, il faut reconnaître que le retrait du président Hollande est sensiblement plus digne et profitable à une nécessaire explication tous azimuts – , que le retour pitoyablement manqué des sans-culotte déculottés Juppé et Sarkozy.
L’explication va être sanglante à gauche. Et ce matin, on voyait déjà les mines de certains détracteurs du Président s’allonger face à leurs nouvelles obligations inattendues.
Quelle bonne nouvelle, mais quelle faillite! Voilà un guignol qui est à l’extrémité de la décadence du socialo-communisto-fascisme. Son dernier coup est pour sa mafia familiale, il cherche un poste, de planquée comme toujours, pour Ségolène à l’Onu, rien de moins ! Cette bonne nouvelle doit faire réfléchir les Suisses auxquels la presse monopolistique impose l’idée surannée et très mensongère d’un socialisme vertueux alors qu’il n’est que pillages, complots, piston et valises de billets. Sans compter les attentats bidouillés pour imposer leur fascisme. N’attendons pas de tomber aussi bas que la France pour chasser tout ces tartufes socialos et apparentés, dit de gauche, qui n’ont jamais rien foutu de réel dans leur existence et qui imposent nombre de conneries propices à la crise, au chômage, à l’immigration sauvage, etc. et qui finissent par s’appuyer sur des minorités, essentiellement sexuelles, lesquelles démontrent le centre « intellectuel » de leurs pratiques sectaires. Et ils revendiquent comme par hasard, la normalité, ces vrais tartufes dont les compétences sont plus faiblardes que celles d’une simple ménagère.