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Conférence de presse de l'UDC Suisse contre la naturalisation de masse avec Michaël Buffat, conseiller national (VD), membre de la CIP-CN, Albert Rösti, conseiller national (BE), président du parti, Barbara Steinemann, conseillère nationale (TG), membre de la CIP-CN et Andreas Glarner, conseiller national (AG), responsable de la politique d'asile et des étrangers à la direction du parti, membre de la CIP-CN. |
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Non à la poursuite des naturalisations en masse |
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La Suisse est confrontée depuis 15 ans à des naturalisations de masse sans précédent. Cette pratique de naturalisation laxiste a pour effet que la Suisse naturalise proportionnellement beaucoup plus d'étrangers que les autres pays européens. Le manque de sens critique et la légèreté qui marquent actuellement l'octroi du droit de cité pose de lourds problèmes: la Suisse naturalise des personnes qui ne sont pas intégrées et qui ne s'identifient pas à notre régime légal. Voilà pourquoi l'UDC dit clairement non à la naturalisation facilitée. L'heure est au renforcement des contrôles des candidats à la naturalisation; elle n'est certainement pas à un nouvel allègement de cette procédure.La proportion d'étrangers de 25% qu'affiche la Suisse est une des plus élevées du monde. Ce chiffre est d'autant plus frappant que, parallèlement, le taux de naturalisation par habitant atteint lui aussi un record. En 2015, 2 514 000 personnes, soit 36% de la population résidente de Suisse âgée de plus de 15 ans, provenaient de l'immigration. Les conséquences de l'immigration de masse et de la pratique de naturalisation laxiste sont aujourd'hui clairement perceptibles. La Suisse est confrontée depuis quelques années à des naturalisations de masse d'une ampleur jamais vue. Depuis 2001, quelque 40 000 personnes sont naturalisées en moyenne annuelle. Durant les 15 années précédentes, soit entre 1985 et 2000, on en comptait 14 000 en moyenne par an. En 2015, 42 699 personnes ont été naturalisées. A noter que seuls 40% des étrangers naturalisés proviennent de pays membres de l'UE.Aujourd'hui déjà, les jeunes étrangères et étrangers peuvent se faire naturaliser sans aucun problème s'ils répondent à certaines conditions, notamment s'ils sont bien intégrés. Il n'y a donc aucune raison d'assouplir encore une fois la pratique de naturalisation. A l'heure où les problèmes d'intégration s'accentuent, il faudrait au contraire vérifier plus soigneusement l'intégration des étrangers, surtout ceux de la deuxième et de la troisième génération.
La conseillère nationale vaudoise Ada Marra (PS) a motivé son enthousiasme pour ce projet lors du débat parlementaire du 27 septembre 2016 en déclarant que la véritable modification apportée par cette modification constitutionnelle était que le candidat à la nationalité suisse n'avait plus besoin de faire la preuve de son intégration. Selon elle on peut partir du principe que ce groupe de personnes est parfaitement intégré. Le fait est que ce changement de paradigme qui est cœur de cette réforme pourrait avoir des conséquences fatales pour notre société et notre pays: la Suisse risque de naturaliser sans aucune vérification aussi bien des individus dangereux et des taupes d'organisations terroristes, des djihadistes et des criminels violents potentiels que des écoliers qui refusent de donner la main aux femmes enseignantes. De surcroît, des parents aux convictions extrémistes ou repris de justice obtiendraient un droit de séjour définitif grâce à la naturalisation de leurs enfants mineurs.
Un traitement à la légère des demandes de naturalisation nuit à la cause: il nuit à la grande majorité de la population étrangère qui se comporte correctement; il nuit aux étrangers naturalisés à juste titre, à la cohésion sociale ainsi qu'à la Suisse en général et au fonctionnement de son État.
Les demandes de naturalisation doivent donc être examinées soigneusement et le plus près possible des candidats (c'est-à-dire dans la commune). C'est la réelle intégration qui doit être déterminante et non pas le lieu de naissance et ou les cinq années de scolarité passées en Suisse. La brève durée exigée pour le séjour en Suisse (cinq ans seulement) ne permet en effet pas à elle seule d'évaluer réellement si le candidat est intégré dans la société suisse.
L'UDC dit clairement NON au projet de naturalisation facilitée, car
- notre pays et notre société ne supporteraient pas une nouvelle accélération des naturalisations alors que celles-ci atteignent déjà 40 000 par ans;
- l'intégration réelle et le respect de nos normes légales doivent rester les critères essentiels déterminant une décision de naturalisation;
- l'intégration ne peut être vérifiée que sur place par les communes dans le cadre d'un entretien personnel et non pas par un fonctionnaire fédéral sur la base des seuls documents;
- la procédure ordinaire de naturalisation est parfaitement suffisante et de nouvelles facilités sont inutiles, voire contreproductives;
- l'heure est au renforcement des contrôles et elle n'est certainement pas à de nouvelles facilités.
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Faciliter la naturalisation équivaudrait à accorder un permis de conduire au rabais à un conducteur n’en possédant pas sous prétexte qu’il roule au noir depuis quarante ans!
Camarade Marra une question me turlupine:
Pourquoi un étranger, d’ici ou d’ailleurs, voudrait-il le passeport d’un pays si pourri, si raciste, si anti droits humains, même pas Européen, plein de riches, de banquiers, qui produit du lait en poudre qui tue des enfants, de ciment qui bétonne le monde?
Ce pays de tous les vices qui devrait être mis sous tutel, même les vaches doivent porter des cloches (il est vrai pas toute) et pourtant si attirant, pourquoi?
A voir et lire absolument:
A Plan-les-Ouates, des questions embarrassantes autour d’une mosquée
19.01.2017.
Et il n’y a pas que les albanais qui « construisent » la Suisse. Et, à les voir. il n’apparaît pas qu’ils souffrent de problèmes d’intégration, ils ont tout ce qu’il faut pour bien vivre en Suisse.
Il ne faut pas nous qu’après deux générations l’on n’a pas pu prendre la décision en quarante ans il ne faut plus la prendre. Les socialistes se moquent des « Faiseurs de suisses. » Mais certains avocats la main sur le cœur sont des « fraiseurs de fric «
Cette Ada Marra n’a pas arrêter de cracher sur les Suisses et la Suisse pendant le débat Infrarouge. Elle était agressive et n’arrêtait pas d’interrompre les autres intervenants. Si la Suisse ne lui convient pas elle peut très bien faire ses bagages et retourner en Italie.
Dernier Infrarouge!
La haine de Marra pour la Suisse et surtout les Suisses est incroiable. Le socialiste PLR valaisan
est au niveau Marra. Il faut vraiement être idiot pour aller travailler durement en Suisse alors que l’on peu travailler heureux, cool dans son pays camarade Marra! On est responsable que sa famille a dû venir en Suisse. En plus ils veulent conserver leurs passeports Suisses!
La Yenamamarbachi bis est au niveau de sa padronne. Je serai interessé d’écouter se que lui crie sa cheftaine dans l’oreillette. L’intello-socialo PLR est arrogant à souhait,,Marra bise!
La RTS devrait supprimer cette émission, tout le monde se traite de menteur! Nous payons pour écouter des menteurs…..
Lorsqu’il y a risque de contamination, (Ada, Cesla, Rebecca, Lisa etc.) il faut voter NON par principe de précaution.
VOTEZ NON!!!L’Algérie rit jaune ! À diffuser largement ! ! ! !
Immigration en Algérie -Tiens, quelle surprise ! Ça vaut 10 ! À lire absolument, ça ne manque pas de sel ! Ça mériterait d’être expliqué à nos habitants issus de l’immigration ….
Vu dans des extraits de journaux, ça tombe pile en plein débat sur l’identité nationale….. ! Marrant non ? et où sont les donneurs de leçons ???? Tu vas rire, elle est bien bonne ….!!!!! Les arroseurs arrosés. *Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l’écho de tensions entre la communauté chinoise installée en Algérie et la population locale.*Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à l’encontre de ces immigrés asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. ….. * Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.* On les a accepté malgré leurs défauts, aujourd’hui ils nous agressent chez nous, a déclaré Mounir à l’A.F.P. — « Ils boivent de l’alcool devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s’exhibent parfois en short dans le quartier. Ce sont des comportements contraires à notre religion et notre culture », a précisé Abdellah, un autre habitant du quartier. Des critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence et de jalousie ». A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois. « Leurs produits sont vendus à des prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent de l’argent, ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il. Étonnant, non ? Ces mêmes Chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’ont que rarement attisé le ressentiment des Français, contrairement à d’autres communautés. Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois *ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue. *n’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles, *n’exigent pas la construction de temples, *ne réclament pas d’horaires de piscine aménagés, * ne contredisent pas l’enseignement des sciences, *se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses, *ne profitent pas indûment des aides sociales. – etc., etc….
à diffuser sans modération
C’est avec une grande attention que j’ai lu le texte de UDC concernant les naturalisations facilitées et c’est avec conviction que je voterais NON, car je suis absolument contre les naturalisations en masse. Ce n’est vraiment pas possible de suivre ces gauchistes qui veulent détruire notre pays.