Mardi, lors de la séance du groupe UDC aux Chambres fédérales, Céline Amaudruz, qui avait dénoncé des cas d'attouchements et de harcèlement a dû faire face aux critiques du Bernois Adrian Amstutz. Cet épisode démontre combien il est difficile pour une victime de dénoncer publiquement des actes.
Source Via le Facebook du PNS
@cenator
votre point 2 est faux elle a nommé Buttet ,je partage l’avis de Hotch elle a pas de main ? lorsque l’on entend cette femme dans les débats elle veut tout casser ,mais elle est incapable de coller une baffe à un gars .Faut arrêter avec ces histoires X temps en arrière .
Que va t-il se passer plus personne ne va aider ces dames de peur d’avoir des représailles des années après lorsque l’on entend de manière anonyme une parlementaire dire » il m’a mis la main sur l’épaule » cela fait soucis ,c’est un signe d’amitié qui ne veut pas dire que l’on ne respecte pas la personne
N’avait elle pas de main pour donner directement une bonne baffe, ou de genou pour éviter définitivement la reproduction de ce(s) harceleur(s) ?
Venir x-temps après, avec des sous-entendus et sans donner de noms, ressemble à une manière maladroite de se mettre en avant, genre « si les mochetés socialistes y ont eu droit, il n’a pas de raison que je n’aie pas été harcelée moi aussi, ce serait vraiment trop injuste ! « .
S’il y a eu des faits répréhensibles qu’elle dépose une plainte pénale; si ce n’est pas le cas qu’elle se taise !
Qu’il se taise. Mais vraiment. Il ferait mieux de s’en prendre aux deux collabos qui représentent l’UDC au CF.
Même dans cet hémicycle, la petite tête fonctionne mieux que l’autre ! C’est pas très encourageant pour les décisions combien importantes qui y sont prises.
Crevons l’abcès une fois pour toutes avec les attouchements et les agressions sexuelles. Les femmes ne doivent pas attendre 50 ans avant de sortir du silence et les responsables doivent sortir de l’ombre et assumer leurs conneries, et surtout apprendre à se contrôler.
Les conneries c’est comme les impôts, on finit toujours par les payer. (Michel Audiard)
Son collègue de parti lui reproche 1° de n’avoir pas porté plainte, 2° de n’avoir pas cité de noms.
Ces reproches sont choquants :
1° Il est clair que pour des attouchements commis sans témoins, une plainte pénale n’a quasiment aucune chance d’aboutir.
2° On ne peut qu’approuver le choix de Céline Amaudruz de ne pas citer de noms, car le but n’est pas de traîner des parlementaires dans la boue, mais bien d’attirer l’attention sur un phénomène qui doit cesser.
3° Il est consternant que l’on veuille ainsi museler la liberté d’expression des femmes parlementaires sur un problème de société.