Eclairage UW – Le Général Guisan, le Grütli et les élections fédérales de 2015 – 29.07.2015

 

Sujets abordés par Uli Windisch:

  • Ce que ne porte pas avec lui le jubilé des 75 ans du rapport du Général Guisan au Grütli en 1940 et ce qu'il devrait évoquer en l'état actuel des choses
  • Les Suisses sont-ils prêts à défendre le pays corps et âme?
  • L'Union Européenne est-elle une solution ou, au contraire, sa chute pressentie devient-elle carrément souhaitable?
  • La constance nécessaire dans les propos pour la défense de la souveraineté de la patrie, la conséquence dont il faut faire preuve dans les actes et l'importance d'une telle détermination lors de la campagne pour les élections fédérales de 2015

 

propos recueillis le 29 juillet 2015

15 commentaires

  1. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Que de brillants commentaires. J.-V. de Muralt reflète particulièrement bien les « sentiments » qui gagnent en intensité. Quant à l’air détendu et confiant, je l’ai remarqué dès que Hollande a commencé a baisser dans les sondages, et dès que les décisions stupides ont commencé à s’accumuler. Particulièrement en France. J’ai même énoncé l’idée qu’ils seraient assurés de puissants soutiens. J’ajoute aujourd’hui qu’ils savent peut-être des choses que nous ignorons.
    Par ailleurs si on se lance en politique par goût du pouvoir, quand bien même on prétendrai vouloir servir, la démocratie n’est pas vraiment le lieu convenable pour l’exercer. Y en aurait-il qui se voient déjà gauleiters?

  2. Posté par J.-V. de Muralt le

    @bigjames

    Peut-être, mais cette initiative est passée à l’as.

    Il faut faire ce qu’on peut avec ce qu’on a : en l’occurrence les quotas d’immigration exigés par la Constitution fédérale (art. 121 et 197 nouveaux).
    C’est un instrument dont n’osent même pas rêver les autres peuples européens.

    Pour rappel:

    Art. 121 Titre (nouveau) Législation dans le domaine des étrangers et de l’asile

    Art. 121a (nouveau) Gestion de l’immigration

    1 La Suisse gère de manière autonome l’immigration des étrangers.

    2 Le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité par des plafonds et des contingents annuels. Les plafonds valent pour toutes les autorisations délivrées en vertu du droit des étrangers, domaine de l’asile inclus. Le droit au séjour durable, au regroupement familial et aux prestations sociales peut être limité.

    3 Les plafonds et les contingents annuels pour les étrangers exerçant une activité lucrative doivent être fixés en fonction des intérêts économiques globaux de la Suisse et dans le respect du principe de la préférence nationale; ils doivent inclure les frontaliers. Les critères déterminants pour l’octroi d’autorisations de séjour sont en particulier la demande d’un employeur, la capacité d’intégration et une source de revenus suffisante et autonome.

    4 Aucun traité international contraire au présent article ne sera conclu.

    5 La loi règle les modalités.

    II

    Les dispositions transitoires de la Constitution sont modifiées comme suit:

    Art. 197, ch. 92 (nouveau)

    9. Disposition transitoire ad art. 121a (Gestion de l’immigration)

    1 Les traités internationaux contraires à l’art. 121a doivent être renégociés et adaptés dans un délai de trois ans à compter de l’acceptation dudit article par le peuple et les cantons.

    2 Si les lois d’application afférentes ne sont pas entrées en vigueur dans les trois ans à compter de l’acceptation de l’art. 121a par le peuple et les cantons, le Conseil fédéral édicte provisoirement les dispositions d’application nécessaires par voie d’ordonnance.

  3. Posté par J.-V. de Muralt le

    @Pierre H.

    Vous avez raison: « les « élites » le savent très bien, ça, et malgré tout, elles ont l’air détendues et confiantes. » Les passagers du Titanic aussi étaient très détendus et confiants cinq minutes avant que l’iceberg ne déchire la coque du navire…

  4. Posté par bigjames le

    @J.V de Muralt
    Je ne vois pas en quoi Ecopop n’était pas « praticable » ???
    Elle avait au moins l’avantage d’être applicable immédiatement.

  5. Posté par Pierre H. le

    @J.-V. de Muralt : « Après un deuxième vote, confirmant et renforçant le premier, il ne sera plus possible à nos autorités de continuer à gouverner contre le peuple. »

    Pour sûr que le deuxième, dans la réalité, enterrera même le premier. Ce n’est pas ça qui m’inquiète. Ce qui m’inquiète, c’est que les « élites » le savent très bien, ça, et malgré tout, elles ont l’air détendues et confiantes. Je serais encore bien plus inquiet s’il n’y avait que des socialistes (pas officiels, bien-sûr) au comptage. Je sens quelque chose qui ne joue pas, dans cette histoire.

  6. Posté par J.-V. de Muralt le

    @Antonio Giovani

    « … et les Sommaruga, les Burkhalter, les Maudet, les Hollande, Renzi, Merkel et Cie donnent dans le panneau comme des béotiens. »

    Je ne pense pas. Ils sont parfaitement conscients de ce qu’ils font. Ils sont complices du projet et partie prenantes. Leurs carrières sont construites là dessus. A leur niveau, plus ou moins important, plus ou moins modeste, ils ont été cooptés pour faire avancer l’agenda mondialiste.

  7. Posté par J.-V. de Muralt le

    @bigjames

    Ecopop n’était pas praticable. Et d’ailleurs cette initiative n’a pas passé. Inutile de perdre son temps à la regretter. En revanche l’initiative contre l’immigration de masse a été adoptée. Elle nous donne un excellent instrument, si on sait s’en servir, pour recouvrer notre liberté d’action.

    La classe politique et le conseil fédéral en place, qui se conçoivent de plus en plus comme des simples courroies de transmission du pouvoir illégitime de Bruxelles, et non plus comme le défenseur des intérêts du peuple suisse, font de l’obstruction, sabotent, trainent les pieds, refusent d’appliquer la décision du souverain.

    Que faire ?

    Les euroturbos obtus, dans leur aveuglement stupide et ridicule, nous donnent une excellente occasion: on lit que leur initiative pour annuler la votation du 9 février 2014 a obtenu 100’000 signatures. Saisissons nous de ce faux pas des ennemis de la Suisse. Sachons tirer parti de la situation nouvelle créée par le tsunami migratoire déclenché par les guerres criminelles menées par les mondialistes contre la Libye et la Syrie. Profitons de l’incompétence de l’UE et de son incapacité à empoigner le problème.

    Faisons rejeter massivement l’initiative folle qui prétend nous faire changer d’avis.

    Après un deuxième vote, confirmant et renforçant le premier, il ne sera plus possible à nos autorités de continuer à gouverner contre le peuple.

  8. Posté par bigjames le

    Ecopop eût été une des solutions… un bon début.

  9. Posté par Antonio Giovanni le

    Je constate que je ne suis pas le seul à penser ce que je pense, mais comment faire en sorte d’en tirer un résultat dans mon rôle de citoyen si « l’autorité élue » conteste et s’oppose par des artifices juridiques spécieux à faire valoir mon opinion dans les faits ? A quoi bon voter si le vote du peuple n’est de toute façon ni entendu , ni respecté ?
    Qui a décidé de ruiner l’Europe ? Les financiers cosmopolites de New-York et de Londres! A cette fin tout est bon: dettes, taux exorbitants, traités léonins de soumission économique à l’oncle O’Barack, invasion planifiées par le même tonton, guerres défensives ruineuses pour mieux obérer nos finances; et les Sommaruga, les Burkhalter, les Maudet, les Hollande, Renzi, Merkel et Cie donnent dans le panneau comme des béotiens; après cela on viendra nous dire que nos députés se soucient du sort de leurs administrés ? Foutaises et mensonges! Il suffit d’entendre tous les jours les mensonges éhontés de nos ministres pour comprendre que depuis belle lurette le citoyen ne compte plus dans leur plan de carrière.
    On sera par terre quand ces gens-là, vendus aux financiers cosmopolites, auront signé aveuglément TAFTA et ACGS, pour nous livrer comme des marchandises aux spéculateurs US.

  10. Posté par J.-V. de Muralt le

    Pardon je rectifie une faute de frappe: le référendum trahi c’était en 2005, pas en 2006

  11. Posté par J.-V. de Muralt le

    Bravo M. Windisch. Vous dites à votre manière ce qu’une majorité ressent. Le malheur est qu’un sentiment d’impuissance se répand. Il y a ce sentiment de trahison, qui n’est pas un sentiment d’ailleurs, mais une réalité objective. Nous avons OBJECTIVEMENT des autorités qui travaillent de toutes leurs forces à nous arrimer à l’Union Européenne, ce dont le peuple ne veut absolument pas. Ceci a pour conséquence la perte profonde de légitimité des autorités que vous diagnostiquez très justement. La preuve : des initiatives populaires sont acceptées, alors que la quasi unanimité de la classe politique s’y oppose. Ceci est un phénomène tout à fait nouveau. Ca ne s’est jamais vu depuis un siècle et demi de démocratie semi directe en Suisse. C’est donc que, pour la première fois dans l’histoire de la Suisse moderne, le peuple ne reconnait plus la légitimité de ses gouvernants puisqu’il les contredit diamétralement. Et le pire c’est que les gouvernants, au lieu de se remettre en question, continuent de plus belle dans la mauvaise direction. Ces messieurs dames de Berne voient leurs collègues politiciens professionnels vivre et faire leurs carrières dans un système entièrement illégitime, l’Union Européenne, rejeté par le suffrage universel (rappelons nous le référendum confisqué du 29 mai 2006), alors nos politiciens à nous aussi, se disent: Eh ! bien puisque c’est comme ça nous aussi on se passera de légitimité populaire. Et on entrera subrepticement dans l’Union Européenne en ficelant la Suisse par une accumulation d’accords internationaux non soumis au référendum, chacun apparemment inoffensif en soi, mais qui mis ensemble vident de sa substance l’autodétermination de la Suisse. C’est ce que ressentent les gens. Ou plutôt c’est ce qu’ils voient. Car ils ne sont pas bêtes. Ils voient bien que la majorité du Conseil fédéral travaille contre la Suisse. Et c’est ainsi que depuis des années je vis dans la hantise de me réveiller un matin en découvrant que pendant la nuit Burkhalter, ou je ne sais qui, a signé un énième accord technique qui, ajouté aux autres, scelle notre destin, et que par conséquent pendant mon sommeil la Suisse a cessé d’exister comme état souverain. C’est un cauchemar me direz-vous ? Non c’est la perception d’une réalité, qui pourrait se réaliser dans un avenir très proche.
    Oui, nous nous sentons vendus. Oui nous nous sentons trahis. Et nous ne savons comment faire parce que nous avons affaire à une classe politique autiste. Un exemple: le discours du premier août de Mme Sommaruga. Elle nous a donné une petite leçon de morale sur le thème: il ne faut pas voter pour « donner un signal », il faut réfléchir aux conséquences, etc… Sous entendu : attention les petits, ce n’est pas bien ce que vous avez fait le 9 février. Vous n’avez pas voulu ce que vous avez voté, forcément. Parce que vous avez mal voté. Donc vous n’avez pas pu vouloir ça. Parce que vous êtes gentils. Vous n’êtes pas des méchants populistes tout de même. Vous avez été simplement des mauvais garnements. Vous vous êtes lâchés. Vous avez voulu « donner un signal ». Ce n’est pas bien. Il ne faudra pas recommencer.
    Elle se moque de nous ou quoi ? Comment se fait-il que la Présidente de la Confédération se permette de narguer ainsi le peuple et ses décisions souveraines ? Va-t-elle donc enfin se mettre dans la tête que les Suissesses et les Suisses sont majeurs ? Nous n’avons pas voulu donner un signal. Nous avons pris une décision, définitive. Celle de contrôler souverainement l’immigration par des quotas. Si c’est nécessaire cela peut vous obliger, Madame Sommaruga, à résilier l’accord de libre circulation. Mettez-vous dans la tête que c’est ça, la réalité. Pas autre chose. C’est une décision, pas un « signal », et cette décision s’impose à vous. Par conséquent Madame la présidente si vous n’acceptez pas d’appliquer ce nouvel article constitutionnel, ce qui semble être le cas, alors il faut démissionner.
    Voilà cher monsieur Windisch, où on en est. C’est très grave en effet. On a une démocratie qui ne fonctionnent plus parce que les dirigeants ne sont plus démocrates. Ils ne veulent plus se soumettre aux décisions démocratiques. Ils conçoivent leur rôle comme une pédagogie pour imposer au peuple suisse les volontés du pouvoir étranger qu’ils servent.
    Avec cette conception là ils ne sont plus légitimes et sont donc méprisés par la population.
    Le malheur c’est que les gens sont résignés. Bien sur ils votent UDC. Ce n’est tout de même pas pour rien si l’UDC est devenu le premier parti de Suisse. Mais le sentiment se répand que l’UDC ne suffira pas à renverser la tendance vers la dictature étrangère dans notre pays. En effet, avec les élections à la proportionnelle aucun parti ne peut parvenir à une majorité absolue. Par conséquent l’UDC ne parviendra pas à dépasser, disons, un tiers des votants. Ce qui est énorme. Mais ça ne suffira pas, étant donné que tous les autres partis sont vendus au pouvoir étranger, malgré les rodomontades du PLR.
    On se demande donc: à quoi bon? On a le sentiment d’être du bétail qu’on mène à l’abattoir, c’est à dire à l’abandon de nos libertés, et nous sommes muselés, nous ne savons pas comment nous débattre pour échapper ce sort peu enviable. On va être obligés de voter UDC encore une fois. Mais cela suffira-t-il?
    Personnellement j’ai constaté au cours de nombreuses conversations avec des gens de toute sortes, des gens modestes, qu’une radicalisation a lieu. Il y a une masse de gens qui se détachent carrément des voies politiques classiques et cherchent autre chose, parce qu’ils ont l’impression que l’UDC est trop molle et que de toute façon les dés sont pipés. C’est très dangereux ça. Les autorités ne répondent plus aux demandes populaires et l’opposition (l’UDC) ne parvient pas à atteindre un poids suffisant pour imposer un virage à 180 degrés qui est nécessaire. Alors que faire ?
    A l’heure actuelle je n’ai pas de réponse à la question. Je cherche des pistes. On verra. Mais tout le monde vit dans une sorte de torpeur angoissée, parce qu’il y a encore une situation économique appréciable, en comparaison internationale. Alors on n’ose pas exprimer ses craintes ni son angoisse. On se sent privilégiés. Mais jusqu’à quand ? Quand il y aura vraiment la crise on verra alors les vrais conflits s’exprimer et certains pourraient alors regretter de ne pas avoir voulu suivre les conseils de l’Union Démocratique du Centre, ce parti très modéré malgré ce qu’en disent les médias antisuisses, car par désespoir ce sera vers des mouvements radicaux (pas vers le vieux parti radical) que les gens seront contraints de se tourner.
    Et le pire, vous le suggèrez avec raison, c’est que l’une des issues les plus vraisemlables à ce marasme est la guerre. Personnellement cela fait des années que je sens venir la guerre. Aujourd’hui je la sens quasiment inévitable. Une bonne vieille guerre classique avec la Russie qui attaquera et un déferlement de chars, mais en plus il y aura l’usage d’armes atomiques avec le risque d’escalade. Il n’y a qu’à voir la politique belliciste irresponsable de l’OTAN contre la Russie. L’OTAN en Europe n’a pas de soldats. Par conséquent quand on aura réussi à provoquer une guerre à force de provocations en Ukraine et ailleurs, il n’y aura pas moyen d’éviter l’emploi de l’arsenal atomique pour stopper la supériorité russe conventionnelle.
    Et c’est là que je sens le plus fortement la trahison. Car nous n’avons plus d’armée. Avec 100’000 hommes, peut-on réellement défendre notre territoire? Nous avions une armée de 600’000 hommes mobilisables en 48 heures. On l’a démolie parce que nos têtes pensantes pensaient qu’il n’y aurait plus jamais de guerre, et ils ontc ru à des foutaises du genre « la sécurité par la coopération ». Quelle coopération ? Avec qui ? L’OTAN ? Oui bien sur, c’est dans l’OTAn que ces gens veulent nous emmener. Ils pensent qu’avec une petite armée professionnelle de 30’000 hommes (Pierre Maudet a même osé parler de 10’000 hommes !) on pourrait contribuer au maintien de la paix dans l’OTAN. Malheureusement l’OTAn aujourd’hui est le plus grand danger de guerre en Europe occidentale.
    Il est grand temps de commencer la « montée en puissance » de notre armée. Il n’y a pas un jour à perdre. Nous devons nous donner cinq ans pour refaire une défense territoriale tous azimuts crédible. Avec un effectif de moins de 400’000 à 500’000 soldats, c’est impossible. Qu’est-ce qu’on attend?
    Nous avons besoin d’un Minger! Ou est-il?

  12. Posté par philippe le

    merci monsieur Windisch

  13. Posté par patrick lévy le

    …, hopp Schwiiz ! Patrick Lévy.

  14. Posté par Derek Doppler le

    L’ennemi n’est pas à la frontière ou au-delà, il est à Berne, là où est la dictature.

  15. Posté par FERRET Jean-Patrick le

    La Suisse est encore un rempart en Europe pour l’immigration, faible, mais il existe, de part sa démocratie directe, demain une votation peut être présentée au peuple pour stopper net l’immigration, car à ce train là, des conflits vont éclater; que ferons-nous quand les islamistes qui n’ont aucun scrupule nous attaquerons, depuis nos frontières avec l’UE, se défendre, je le ferais si mon physique me le permet , tenir un fusil et tuer l’ennemi être tué, qu’importe, je me battrai contre la dictature , ça n’est pas dans la mentalité Helvétique de se laisser dominer, écraser par qui que ce soit, pensons à notre Guillaume Tell

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