Elections vaudoises. L’explosion de la facture sociale

post_thumb_default

24 heures a publié le 27 avril un dossier à ce sujet, qu’il n’est pas possible de laisser sans commentaires.

 

1) Article de François Modoux

http://www.24heures.ch/vaud-regions/La-facture-sociale-a-fleurets-mouchetes/story/31360187

La facture sociale à fleurets mouchetés

Campagne électorale – La droite s’alarme de la hausse accélérée et continue des dépenses sociales. Mais elle se retient de dire quelles prestations elle voudrait tailler. Le conseiller d’Etat Pierre-Yves Maillard défend une politique de pouvoir d’achat pour la classe moyenne.

Dans la campagne électorale vaudoise atone, il y a tout de même une petite musique qui accroche. […]

Cenator : Campagne atone ? La totalité des médias font un matraquage prosocialiste depuis le début de la campagne : rien ne doit changer car c’est une formule qui marche, il suffit d’élire Cesla la bolchévique…

Il est question des dépenses consenties par l’Etat pour les plus fragiles de la société: les revenus modestes, les retraités qui ne joignent plus les deux bouts, les chômeurs en fin de droits basculant à l’aide sociale, certains requérants d’asile, les marginaux. Tous ceux qui un jour ou l’autre sont rattrapés par une maille du filet social. La facture sociale «s’envole», «explose», s’alarment les plus virulents. Les modérés évoquent gravement une «hausse accélérée et continue» des dépenses sociales, comme si leur maîtrise était définitivement perdue.

Cenator : Quel amalgame ! C’est la classe moyenne qui est assassinée par des… et ils nous parlent des requérants d’asile, des assistés ?

Les marginaux, les requérants-trafiquants sont déjà nourris-logés par la collectivité, par la classe moyenne mise en esclavage. C’est bien plutôt la catégorie des retraités propriétaires à faible revenu qui est à plaindre. D’autre part, les impôts vont encore augmenter dans le fief socialiste qu’est ce canton, alors que, déjà maintenant, la classe moyenne paie bien au-delà de 40% d’impôts, un record au niveau national.

Dans le canton dont l’économie a surperformé au cours de la décennie écoulée, le phénomène intrigue. «La santé vaudoise insolente laisse trop de perdants au bord de la route», constate une syndique que cette «escalade paradoxale» rend «perplexe». Les communes payant un tiers de la facture sociale, leurs syndics sont très remontés ou aux abois.

Les chiffres de l’escalade

La facture sociale vaudoise est budgétée à 2,23 milliards en 2017. Depuis 2011, elle a bondi de 38%. La hausse annuelle moyenne de 6% est deux fois supérieure au rythme moyen de croissance des charges de l’Etat (environ 3%), confirme le Département des finances (DFIRE).

En octobre 2012, enquêtant sur la hausse des dépenses sociales, 24 heures prédisait que ce domaine détrônerait bientôt la formation au hit-parade des politiques publiques les plus onéreuses. On y est. En 2017, Vaud prévoit de consacrer au social 28 francs 75 sur 100 francs de dépenses publiques. Le social devance pour la première fois l’éducation (28 francs 70), la santé (14 francs 53) et la sécurité (7 francs 75).

Prudence, relativise toutefois le DFIRE. Cette statistique résulte d’un calcul complexe basé sur une typologie de dépenses établie par l’OCDE et validée par la Statistique fédérale. Le montant de 28 francs 75 dédié à la prévoyance sociale agrège, pêle-mêle, les régimes sociaux sous contrôle du Département vaudois de la santé et de l’action sociale (DSAS) mais aussi plusieurs dépenses relevant des dicastères de l’Economie publique (le chômage, certaines factures de l’asile) et de la Formation (la protection de la jeunesse).

Une aubaine électorale

La droite a vu dans cette statistique une aubaine électorale. Elle y lit le signe tangible que le Canton est trop généreux. Sa petite musique insinue que cet effort pour la cohésion sociale est irresponsable. Qu’il doit bien y avoir du coulage dans l’aide à ceux que la prospérité laisse au bord de la route. Pierre-Yves Maillard, le patron socialiste du DSAS, est visé au premier chef. Il serait responsable de l’escalade. Trop fort, trop puissant, trop rusé, il obtiendrait pour le social tout ce qu’il voudrait. Il influencerait à lui tout seul les choix du gouvernement. D’autres voix le disent différemment: «Il n’y a tout simplement plus personne pour le freiner.»

[…]

Il en faut davantage pour déstabiliser le socialiste, candidat à sa réélection: «Tout ce que nous avons fait a été soutenu largement par le Grand Conseil ou par le peuple quand il y avait contestation.» Il interpelle à son tour la droite: «Si elle veut des coupes, qu’elle dise où! Dans les soins à domicile, les EMS, les prestations complémentaires ou les aides pour payer les primes maladie?»

C’est là que le bât blesse dans le camp des pourfendeurs de la facture sociale. Ils se retiennent de dire quel régime social on devrait alléger (lire ci-dessous). Leurs propositions sont vagues et indolores quand elles existent. Ces jours, des ténors de l’UDC se sont défilés au dernier moment quand il s’agissait de croiser le fer avec lui sur le sujet qui fâche. La droite ne donne aucun signe de vouloir s’emparer du DSAS pour y mener une autre politique. A-t-elle peur de s’y brûler les ailes? Il n’est pas si facile d’assumer de taper sur les plus fragiles.

Cenator : Est-ce que la droite est devenue si débile qu’avec l’explosion des coûts sociaux elle ne sait pas où il faudrait sabrer ?

Si tel est le cas, il faut diminuer linéairement tous les postes des différentes interventions «sociales».

Trois facteurs de croissance

Derrière les chiffres, la croissance des dépenses sociales s’explique par trois facteurs: l’évolution démographique; des reports de charges de la Confédération sur les cantons; et des choix politiques assumés par le Canton. Leurs parts respectives dans la hausse pour 619 millions des dépenses sociales ces six dernières années sont difficiles à établir avec précision. A la louche, une moitié devrait résulter de la politique de cohésion sociale généreuse initiée par le chef du DSAS. […] Pierre-Yves Maillard assume cet effort: «Notre politique sociale, c’est aussi du soutien au pouvoir d’achat de la classe moyenne. Elle a soutenu la consommation, et donc l’économie, quand celle-ci a commencé à ressentir le choc du franc fort, en 2015.»

Cenator : Maillard, en bon socialiste qui feint de croire que l’argent pousse sur les arbres, a trouvé la méthode miracle pour relancer la consommation : il suffit qu’une instance étatique « donne du pouvoir d’achat » et l’économie va repartir malgré le franc fort !

Super, il suffisait d’y penser… et il sera possible, à l’avenir, de recommencer aussi souvent que nécessaire.

Les subsides aux primes maladie – un petit quart des charges sociales du DSAS – sont un volet étendard de cette politique. Depuis que Pierre-Yves Maillard a la main sur le Social, le cercle de leurs bénéficiaires a passé de 140'000 à 210'000. Vaud adapte chaque année les barèmes d’accès à la hausse des coûts de la santé. D’autres cantons ont fermé le robinet ou revu à la baisse leur soutien, réduisant mécaniquement le nombre d’assurés aidés.

Autre politique sociale volontariste menée par Vaud, les prestations complémentaires pour familles (PC Familles) et les rentes-ponts octroyées à des ménages autrefois au revenu d’insertion (l’aide sociale). Quelque 2200 familles ont bénéficié de ces deux nouveaux régimes validés par le peuple dans les urnes, contre les milieux patronaux qui avaient lancé le référendum. Surcoût pour le Canton: environ 60 millions.

Les bourses d’études et d’apprentissage ont vu le Canton augmenter son effort d’environ 25 millions. […]

[…] le nombre de chômeurs en fin de droits par mois dans le canton a passé de 180 en 2009 à 400 en 2015, soit +122%. «Leur nombre a doublé lors de la législature écoulée, ce n’est pas le fait de l’aide sociale ni du DSAS», note Maillard. […]

Les dernières réformes de l’assurance-invalidité, hier soutenues par l’UDC et le PLR vaudois, ont diminué de manière importante l’octroi des rentes AI. Pierre-Yves Maillard avait combattu ces réformes et il ne se retient pas de rappeler à la droite l’effet boomerang des décisions qu’elle a appuyées: «Une bonne partie des refus de rentes fait aujourd’hui augmenter le nombre de personnes à l’aide sociale. J’avais prévenu la droite et les communes que les restrictions de prestations des assurances sociales fédérales seraient payées par le Canton et les communes.» […]

Cenator : Le culot du tout-puissant Maillard n’a pas de limite ! L’utilisation abusive de la rente AI, durant quatre décennies, par les services sociaux et les médecins complaisants est un fait avéré… et un scandale, tant envers l’assurance invalidité qui a dû verser des prestations injustifiées (situation intenable à la longue, ce qui a nui aux réels invalides qui ont vu leurs prestations baissées ou supprimées) qu’envers les assurés.

 

Alors que la croissance de la population suisse est délirante pour un territoire déjà surpeuplé (la population suisse a augmenté annuellement de 1,1% et celle du canton de Vaud de 1,7% en moyenne ces 10 dernières années), le canton de Vaud a accueilli une nombreuse population de chômeurs européens peu ou pas diplômés, par exemple beaucoup de Portugais qui font le circuit chômage-aide sociale-demande AI, ou bien une population musulmane nombreuse où, dans la plupart des cas, la femme, souvent analphabète, ne travaille pas et se voue à une reproduction sans limite. Tous ces gens ont des trous béants de cotisations dans leurs 1er et 2e piliers (certains ne cotiseront jamais). Cette situation prépare un désastre inévitable pour nos assurances sociales et pour l’avenir même de notre pays.

Avec l’invasion illimitée de migrants inemployables et frustrés, les contribuables se sont transformés en esclaves assujettis à entretenir ces masses de gens aux revendications illimitées. Les familles nombreuses, subventionnées, entretenues, inassimilables, criminogènes pour qui les contribuables doivent tout financer, y compris les infrastructures ad hoc, écoles, crèches, routes, prisons et une armada de fonctionnaires dédiés… sans parler des fondations et des associations caritatives subventionnées qui en vivent.

Tout cet énorme bazar a engendré une fausse croissance, car il s’agit d’un cancer sociétal dont les conséquences vont ruiner le pays que nous aimons et que nos ancêtres ont construit sur des bases totalement autres. Loin de refléter un enrichissement du pays, cette croissance malsaine et, à terme, mortelle représente un grave appauvrissement de la classe moyenne, une insécurité en nette augmentation, des routes et des autoroutes toujours plus surcharagées, un niveau scolaire en baisse…

 Les sociologues et les économistes qui soutiennent le contraire sont des menteurs invétérés, des fonctionnaires intellectuellement corrompus. Les gauchistes sont toujours doués pour démontrer que le mensonge est la vérité.

 

 

 

 

Mais quel est le message de Monsieur Modoux pour expliquer que les socialistes ont tout bien fait, comment justifie-t-il cette catastrophe en la maquillant en succès ? « Continuez, braves imbéciles, à voter socialiste ! » 

 

 

2) Editorial de François Modoux

http://www.24heures.ch/signatures/editorial/debat-escamote/story/31055237

Le débat escamoté

La droite vaudoise s’inquiète de la hausse accélérée et continue des dépenses sociales. En effet, ce n’est pas banal de constater que lors de la législature écoulée la facture sociale cantonale a augmenté deux fois plus vite que la hausse moyenne des charges de l’Etat. L’UDC et le PLR n’ont toutefois pas le courage de proposer des alternatives.

Ils se retiennent d’identifier quelles prestations ils voudraient raboter. Rien de concret n’est défendu devant l’électeur. La critique visant la «gauche dépensière» en devient anémique. Et comme la traque aux abus à l’aide sociale, renforcée par le patron socialiste du DSAS, récolte des fruits, la petite musique de la droite contre l’excès de générosité sociale fait «pfuitt».

Le PLR se retient aussi de préconiser une baisse d’impôts pour les personnes physiques. Avec un excédent total de recettes de 640 millions aux comptes 2016, il y avait pourtant de la marge pour ouvrir la discussion. Il existe d’excellentes raisons de soutenir les deux déciles les plus fragiles de la population vaudoise; il y en a aussi quelques bonnes à donner un bol d’air à la majorité des Vaudois qui composent la classe moyenne. Une modeste baisse d’impôts – 2 ou 3 points – forcerait le gouvernement à stabiliser les dépenses du ménage cantonal. Donc à affiner ses priorités. On sortirait du cocon consensuel.

Ce débat n’a pas lieu. La droite l’a confisqué en privilégiant des baisses fiscales pour les seules entreprises – donc pour l’emploi et le dynamisme économique. En échange d’une politique de cohésion sociale ambitieuse et singulière en Suisse, qu’elle assume malgré la fausse impression donnée par ses timides banderilles lancées contre la facture sociale. (24 heures)

 

3) Article de Vincent Maendly

http://www.24heures.ch/vaud-regions/La-facture-sociale-a-fleurets-mouchetes/story/31360187

La droite veut «stabiliser» les dépenses sociales

PLR et UDC ont fait de la hausse des dépenses sociales un thème de campagne, avec ce constat répété à l’envi: «Elles ont dépassé ce qui est budgété pour la Formation.» Tout un symbole. «Il est surprenant de voir le coût du social augmenter alors que le nombre de chômeurs dans notre canton est assez stable depuis sept ans», ajoute Jacques Nicolet, candidat UDC au Conseil d’Etat […]. L’UDC s’attaque en outre au «système de l’arrosoir». «Est-il normal de pouvoir déduire de son revenu le forfait des primes d’assurance-maladie quand ces mêmes primes sont partiellement ou totalement payées par l’Etat, donc par les contribuables?» interroge le candidat. Comme mesure concrète, pour contenir les coûts, l’UDC propose d’adapter les prestations sociales à celles recommandées par la Conférence suisse des institutions d’action sociale (CSIAS). Le Canton de Vaud est en effet plus généreux s’agissant du revenu d’insertion dont le barème débute à 1110 francs pour une personne seule au lieu des 986 francs préconisés par la CSIAS.

Du côté du PLR, on se garde aussi d’annoncer des coupes drastiques dans les dépenses sociales. […]

 

4) Voir aussi cet article plus ancien (14 avril 2017) :

http://www.24heures.ch/vaud-regions/La-fin-du-miracle-vaudois/story/26957187

La fin du miracle vaudois?

Economie – Recul de l’immobilier, moindre capacité à créer des emplois et à attirer de grandes entreprises étrangères: le ralentissement annonce-il la fin d’un cycle?

Par François Modoux et Lise Bourgeois

En décembre 2016, à la veille de Noël, Pascal Broulis devait recevoir les dirigeants d’une grande société américaine partiellement basée au Mexique. Son transfert dans le canton de Vaud, discuté depuis des mois, allait-il enfin se concrétiser? Patatras! La compagnie ira plutôt aux Etats-Unis, alléchée par les promesses fiscales du président Donald Trump fraîchement élu. L’espoir d’un deal à plusieurs dizaines de millions de francs d’impôts par an pour le Canton s’est évanoui alors que tout semblait réglé.

Quelques semaines plus tôt, une autre société américaine, sur le point de déménager sur Vaud, misait sur un autre canton jugé plus attractif. [?]

 

5) Et cette lettre de lecteur (Le Temps, 18 septembre 2015) :

Gianluigi Monti, économiste, Lausanne

Il paraît que la population suisse est justement attachée à la progressivité de l’impôt. Mais force est de constater que désormais il existe dans ce pays plusieurs catégories de contribuables à charge fiscale variable. Commençons par les vrais riches ou ultra-riches avec plusieurs résidences, dont une en Suisse, qui disposent de moyens considérables et qui ont réduit le poids fiscal au minimum.

Les moins favorisés qui bénéficient, presque toujours à raison, d’une assistance financière importante et ne paient presque pas d’impôts (30% à Genève et 25% ou 50 000 contribuables dans le canton de Vaud).

Ensuite, il y a les bénéficiaires de forfaits fiscaux avec une charge fiscale exceptionnellement basse compte tenu de leur aisance. Continuons avec les entreprises qui seraient taxées à environ 13-14% dans la révolution fiscale en cours (quelle aubaine… j’aimerais être une entreprise!).

Et pour finir la classe moyenne, dite aisée, cible du PS, qui supporte un poids excessif de l’impôt (revenu plus fortune). A noter que cette classe n’est point à la charge de l’Etat et est formée notamment de cadres supérieurs, d’entrepreneurs et de professions libérales qui ont ou ont eu des responsabilités et des risques majeurs dans leur activité. Il paraît que cette classe bénéficierait dans certains cantons d’un bouclier fiscal à 60% maximum, auquel s’ajoute l’impôt fédéral de 11-12%, soit au total plus de 70%. Dans certains pays sérieux d’Europe et aux Etats-Unis, un impôt supérieur à 40% fait crier au scandale!

Sans parler de l’impôt sur la fortune, considéré comme une aberration par plusieurs fiscalistes (Suisse, France et Norvège seules à l’appliquer désormais), qui ont ajouté que taxer l’outil de travail était un non-sens.

Et si un jour cette classe moyenne, si docile et si soumise… se réveillait!

 

Articles réunis et commentés par Cenator, 29 avril 2017

 

12 commentaires

  1. Posté par Tommy le

    C’est à croire que Maillard est actionnaire chez UNIA!

  2. Posté par Claude le

    Facture sociale ou FRACTURE sociale ?
    Lorsque  »seulement » 2.65% des immigrés qui arrivent en Italie puis en Europe sont des réfugiés voir : http://lesobservateurs.ch/2017/04/29/onu-moins-de-3-des-migrants-sont-des-refugies/ je doute fort du bien fondé de toute cette  »industrie » mise ne place à prix d’or !! Question : qui paie ? Nous, brave classe moyenne suisse qui se fait tordre sur toute la ligne ! J’étudie la possibilité de bloquer mes impôts !!

  3. Posté par pierre frankenhauser le

    Maillard la cigale en chef se gargarise en prétendant que l’aide sociale est souvent couplée à des subventions pour la formation. Oui, mais pour qui ? Majoritairement pour des gens qui une fois leur apprentissage et/ou études terminés aux frais du contribuable, se mettrons à l’aide sociale ou rentrerons au pays avec le fric qu’ils nous auront volé ?

    Lorsqu’une loi interdisant aux étrangers désireux de rentrer au pays de retirer leur 2ème pilier à partir de 2007, combien p.ex. de Portugais sont-ils rentré chez eux à la hâte ? On a bien vu leur intention. Et combien de ces chiards sont ensuite revenu ici pour mendier du travail ? Et combien d’entre eux ont eu le toupet de demander et d’obtenir l’aide sociale ? Ces profiteurs se foutent de nous, avec la complicité des gauchistes. Si un jour le peuple se révolte, ils en seront les principaux responsables. Mais ces salopards savent également que le Vaudois moyen n’a pas le tempérament très rebelle ou celui d’un révolutionnaire.

    Avec ces plaies de socialistes, il est impossible de créer puis de garder un pays prospère et harmonieux à long terme. Partout où ils s’incrustent, l’économie se casse la gueule. Les autochtones sont envahis par des hordes de profiteurs étrangers qui n’ont aucun attachement au pays d’accueil, si ce n’est de jouer les pauvres victimes du système pour toucher leur rente à la fin du mois. Avec le progrès industriel, les corps ont commencé à développer des cancers, et nos systèmes politiques ont commencé à subir les délires socialistes.

    De nos jours, comment peut-on encourager des jeunes à se mettre à leur compte, en sachant que s’ils ont la chance de réussir, ils seront ensuite ponctionnés par ces sangsues improductives et dépensières de la gauche au profit de gens qui ne méritent majoritairement pas notre générosité ?

  4. Posté par Jacques Beckie le

    Continuez à engager des frontaliers à tour de bras au prétexte qu’ils sont mieux formés que les suisse, à licencier le personnel dès 45 ans au motif qu’ils sont dépassés et n’ont plus la formation nécessaire que ces même entreprises ne veulent plus payer. Continuez à voler le personnel formé à l’étranger, médecin, personnel soignant, employé de commerce, même Stéphane Lambiel n’était pas assez qualifié pour donner des cours de patinage à Genève et j’en passe et des meilleures. Les employeurs et le système, le gouvernement suisse sont tous responsables du désastre qui arrive. Comme en France ni la gauche ni la droite ne valent plus rien. Les premiers ne créent des emplois que grâce à l’impôts et les second s’enrichissent le plus rapidement possible et advienne qu’adviendra. C’est la vie dans l’instantané et qu’importe le futur de la société. Les jeunes n’ont pas de job et les moins jeunes n’en ont plus. De toutes manière d’ici 10 à 15 ans 30 à 40 % des emplois d’aujourd’hui n’existeront plus. Couper les prestations sociales ne fera qu’aggraver la situation tout simplement voir même elle accélérera le processus d’implosion du système…

  5. Posté par Tommy le

    Pourquoi évoque-t-on « certains » réfugiés ?
    Ils sont quasi tous au social!
    Lorsque le taux d’Erythreens inactifs par choix atteint 95 %?

  6. Posté par Fleeps le

    Excellent cenator……merci….juste une erreur…la photo de marelle….ça fait tâche.

  7. Posté par Yolande C.H. le

    Comme compensation, les contribuables lambda, croulant sous les impôts, peuvent se dire que non seulement ils rendent heureux ces malheureux, mais qu’ils participent au PIB des pays que ceux-ci ont quitté.

  8. Posté par Bertrant le

    Maillard et la gauche sont des dangers pour la paix sociale du canton. Je redoute un raz le bol qui va conduire à une explosion sociale. Attendez que l’économie ai des ratées !
    Broulis un lèche cul de la gauche.

  9. Posté par S. Dumont le

    Lorsque la gauche est au pouvoir aidée par une presse pro-immigration, les aides sociales flambent et les finances tombent comme un château de sable, afin de garder et de gagner des électeurs!
    Dans le canton de Vaud, il y en a un qui court pour faire venir de nouvelles entreprises et l’autre qui se frotte les mains tout en se demandant à qui redistribuer ce flux financier!!!
    Mais en 2016, c’est le tout contraire qui est arrivé. Aucune entreprise n’est venue s’installer dans canton de Vaud et voit ses petits commerces fermés les uns après les autres et son taux de chômage a atteint des records.
    Aucun nouvel emploi n’a été créé sauf dans les services administratifs, et malgré tout, son immigration a augmenté…
    Il y a donc effectivement un problème….
    Dont un qui a été révélé hier par la presse concernant les abus faits par le syndicat Unia, grand copain de Maillard.
    En ce qui concerne les PC aux familles, il suffit de travailler une heure par semaine pour les percevoir!!
    En Suisse comme dans le canton de Vaud, il faudra bien un jour affiner les statistiques pour voir combien de personnes et d’indépendants qui, après une année de cotisations salariales – car cotiser ne veut pas dire travailler – tombent au chômage puis à l’aide sociale définitivement afin de bénéficier de notre largesse.

  10. Posté par Hans C. le

    Les finances du Canton de Neuchâtel sont désastreuses et, en récompense, le Conseil d’Etat a été réélu triomphalement au 1er tour !
    Cela fait longtemps que les gauchistes ont compris qu’en créant des pauvres et des assistés (social, AI, etc.), ils augmentent leur électorat !

  11. Posté par Bussy le

    Comme l’a dit Mme Thatcher, tout ce bazar s’arrêtera quand la classe moyenne sera ruinée et que les riches se seront tous tirés ailleurs…. et gare à cette masse de gens aux revendications illimitées et qui n’ont rien apporté au pays si ce n’est leurs arriérations et paresse, ceux-ci deviendront violents et chercheront à couper la main de ceux qui les auront chouchoutés.

  12. Posté par Nicolas le

    Encore un peu de patience. Au rythme d’un invasion croissante, non combattue par des politiciens totalement irresponsables, l’explosion c’est pour bientôt.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.