« Mauvaise nouvelle pour Trump : l’enquête du FBI sur sa collusion avec la Russie s’écroule ». A ne pas manquer.

NDLR. Nos médias rêvent encore et toujours d’un « Russiagate » (ex. La Tribune de Genève , 2 pleines pages, 15.12.2017) et donc d’impeachment, alors que tout s’effondre et que la corruption et les machinations de H. Clinton et des Démocrates atteignent des sommets. D’où le fait que les Démocrates ont déjà changé de cheval et comptent maintenant sur « le harcèlement sexuel » en tentant même de corrompre de fausses victimes avec des sommes énormes. C’est cela la démocratie des Démocrates?

 

« C’est comme une assurance pour le cas où il gagne ». Voilà l’un des nombreux messages envoyés par Peter Stzork, l’un des principaux enquêteurs de l’équipe Mueller contre Trump et de l’enquête du FBI des emails de Clinton, à sa maîtresse, elle-même membre de l’enquête de Mueller sur la supposée collusion de Trump et la Russie. […]

Clinton_putin-chichotte à l'oreille

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4 commentaires

  1. Posté par lucie le

    Autre mauvaise nouvelle, mais qui ne date pas d’hier…
    18.12.2017 – « LA GUERRE VOUS INQUIETE? NOUS AUSSI! » … A PARTAGER, merci

    Iran, Corée du Nord, Russie. Il ne se passe pas un jour sans que nous ne craignions, au réveil, d’entendre des missiles siffler autour de nous.

    C’est pour faire entendre une voix résolument engagée contre la guerre et sa propagande, que Ron Paul a créé en 2013 son Institut pour La Paix et la Prospérité.
    De nombreux think tanks du Beltway (ceinture de Washington), partisans d’une politique extérieure « modérée », sont en réalité prêts à tous les compromis, convaincus qu’ils ne seraient pas « pris en compte », s’ils restaient fidèles à leurs principes. Pris en compte par qui ? Par les décideurs interventionnistes qui se sont aménagé leur niche sur une mine d’or aux dépens de nous tous. Les think tanks continuent pourtant de croire que leurs conseils de modération et leurs concessions peuvent persuader Washington de renoncer à sa politique belliciste.
    Comment cela pourrait-il se produire ? Le Congrès s’est-il déjà aventuré – à de rares exceptions près qui confirment la règle – à émettre le moindre chuchotement de désapprobation à propos des incessantes guerres larvées et non autorisées ?
    Avez-vous comme moi pris connaissance de l’aveu récent du Pentagone concernant sa « méconnaissance » des différents points du monde où nos 44 000 soldats sont déployés ? Alors ne vous entêtez pas à exhorter le Congrès à user de sa prérogative en matière de déclaration de guerre, cela fait belle lurette que ses membres ne se soucient même plus de savoir où nous sommes en guerre !
    Non, ce n’est pas en passant par Washington que l’on pourra soustraire la politique extérieure américaine à l’emprise des néo-conservateurs. (…)

    http://arretsurinfo.ch/la-guerre-vous-inquiete-nous-aussi/

  2. Posté par MC Foreign-Office le

    Accord nucléaire avec l’Iran: révélations sur un scandale lié à Barack Obama

    Si les informations publiées par le site américain Politico sont exactes, il s’agira de l’un des plus grands scandales politico-judiciaires de l’ère Obama dans lequel l’ancien président lui-même pourrait être impliqué. En tout cas, ces révélations ont déjà fait le tour du monde et suscitent de très nombreuses réactions.

    Dans un long article (https://www.politico.com/interactives/2017/obama-hezbollah-drug-trafficking-investigation/), le journaliste Josh Meyer dévoile les conclusions d’une longue enquête qui indique que l’Administration Obama, jusqu’au plus haut niveau, a fait stopper une opération de longue date menée par le Drug Enforcement Administration qui visait à démasquer les filières de drogue, de blanchiment d’argent et de trafic d’armes par le Hezbollah sur le territoire américain. Toutes ces activités rapportaient en gros un milliard de dollars par an à l’organisation terroriste qui ne s’en servait pas pour offrir des bourses à des étudiants…

    Cette opération appellée « Cassandra » avait été lancée par le DEA après que ses services aient constaté que le Hezbollah, en plus de ses activités terroristes était devenu un véritable syndicat international du crime avec des ramifications en Europe occidentale, en Afrique occidentale, en Amérique latine et aux Etats-Unis. Cette longue et minutieuse enquête faite de filatures, écoutes téléphoniques, recueils de témoignages, recoupements d’informations avait occupé une trentaine d’agents pendant huit ans et était sur le point d’aboutir à de nombreuses arrestations et des actes d’accusations devant la justice américaine. Mais elle a été brusquement stoppée par des hauts fonctionnaires de l’Administration Obama – très probablement sous l’ordre direct du président – afin de ne pas mettre l’Iran dans l’embarras et ne pas risquer de faire capoter l’accord sur le nucléaire que le président tenait à tout prix à signer.

  3. Posté par MC Foreign-Office le

    Accord nucléaire avec l’Iran: révélations sur un scandale lié à Barack Obama

    Si les informations publiées par le site américain Politico sont exactes, il s’agira de l’un des plus grands scandales politico-judiciaires de l’ère Obama dans lequel l’ancien président lui-même pourrait être impliqué. En tout cas, ces révélations ont déjà fait le tour du monde et suscitent de très nombreuses réactions.

    Dans un long article (https://www.politico.com/interactives/2017/obama-hezbollah-drug-trafficking-investigation/), le journaliste Josh Meyer dévoile les conclusions d’une longue enquête qui indique que l’Administration Obama, jusqu’au plus haut niveau, a fait stopper une opération de longue date menée par le Drug Enforcement Administration qui visait à démasquer les filières de drogue, de blanchiment d’argent et de trafic d’armes par le Hezbollah sur le territoire américain. Toutes ces activités rapportaient en gros un milliard de dollars par an à l’organisation terroriste qui ne s’en servait pas pour offrir des bourses à des étudiants…

    Cette opération appellée « Cassandra » avait été lancée par le DEA après que ses services aient constaté que le Hezbollah, en plus de ses activités terroristes était devenu un véritable syndicat international du crime avec des ramifications en Europe occidentale, en Afrique occidentale, en Amérique latine et aux Etats-Unis. Cette longue et minutieuse enquête faite de filatures, écoutes téléphoniques, recueils de témoignages, recoupements d’informations avait occupé une trentaine d’agents pendant huit ans et était sur le point d’aboutir à de nombreuses arrestations et des actes d’accusations devant la justice américaine. Mais elle a été brusquement stoppée par des hauts fonctionnaires de l’Administration Obama – très probablement sous l’ordre direct du président – afin de ne pas mettre l’Iran dans l’embarras et ne pas risquer de faire capoter l’accord sur le nucléaire que le président tenait à tout prix à signer.

    Selon David Asher, enquêteur au ministère américain de Justice et collaborateur à l’Opération Cassandra, la décision de mettre fin à cette enquête était « de nature entièrement politique et commanditée depuis la Maison-Blanche ». Il souligne que plus on avançait vers la signature de l’accord sur le nucléaire, plus les opérations sur le terrain se faisaient rares jusqu’au moment où tout a été stoppé « avant qu’il ne soit trop tard ».

    En clair, un président américain a fait barrage à une opération de police et justice pour des raisons politiques en faveur d’une organisation terroriste qui introduisait de la cocaïne dans son pays, se livrait à des opérations de blanchiment d’argent et de trafic d’armes et, tout aussi grave, a permis à financer la fabrication d’armement chimique dont s’est servi Bachar El-Assad contre sa propre population. Et lorsque l’on se rend compte qu’il s’agissait aussi de ne pas froisser l’Etat-terroriste d’Iran pour signer absolument cet accord irresponsable, on se rend compte des dégâts causés par ce président adulé en Europe.

    En Israël, seul Yaïr Lapid a réagi pour l’instant: « Si ces informations sont exactes, le président Barack Obama doit sans délai rendre le prix Nobel de la paix qui lui a été décerné »-

    Il est fort à parier que les semaines et les mois passant, de nouvelles révélations seront faites sur ce qu’était en réalité Barack Hussein Obama et quels étaient ses objectifs en politique étrangère. Elles expliqueront encore mieux son attitude hostile envers Israël et Binyamin Netanyahou.

  4. Posté par Antoine le

    Quel suspens !! mieux que Dallas …
    Enfin de bonnes nouvelles, il ne reste plus  »qu’à » mettre en prison  »Elle a rit » qui commence à rire jaune … et 50% des Démocrates corrompus jusqu’à la moelle …

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