France. Islam: Pour que « religion » au travail ne rime plus avec malaise

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Anne Rodier, journaliste au Monde, présente le dernier essai de Denis Maillard, «Quand la religion s’invite dans l’entreprise. Malaise dans le travail » qui retrace l’évolution de la place prise par la « religion » en entreprise en France depuis les années 1980.

Un chauffeur manutentionnaire refuse, au nom de sa religion, de transporter de l’alcool. Un conducteur de bus n’accepte pas de toucher le volant si c’est une femme qui l’a précédé. Un autre ne veut pas leur serrer la main. Une aide à domicile met un point d’honneur à ne pas acheter la tranche de jambon pour la vieille dame dont elle s’occupe.(Présentation de l’éditeur )

L’enjeu n’est plus à démontrer. En 2016, deux tiers des manageurs se disaient confrontés à la manifestation de la croyance religieuse et le nombre de cas conflictuels avait été multiplié par trois en deux ans, indique l’auteur. Et pas seulement à cause des attaques terroristes, même si elles « ont marqué un tournant dans l’appréhension du fait religieux au travail ». Alors que, « pour 82 % des Français (…), la religion représente une affaire strictement privée et personnelle », les entreprises doivent en tenir compte.

Face à des salariés fatigués durant le ramadan, à ceux qui refusent de serrer la main d’une collègue ou de livrer des caisses contenant de l’alcool, Denis Maillard raconte les solutions apportées par les manageurs. Premier réflexe : interdire ou obliger ; deuxième : trouver un accommodement raisonnable entre la demande individuelle et les besoins de l’entreprise. Mais le résultat n’est pas satisfaisant quand il se fait aux dépens du collectif de travail. […]

Le Monde via Fdesouche.com

6 commentaires

  1. Posté par maury le

    AINSI VA LA FRANCARABIA:
    L’Etat Français abandonne la police au profit des délinquants
    De Blog Tribune Libre, http://tribunelibre.over-blog.com/
    . Société
    28 décembre 2017
    1 View
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    Les policiers ne comprennent plus rien. Ils rêvaient d’intégrer la police par conviction afin de protéger les Français et de faire enfermer les criminels. Mais une fois leur intégration dans les forces de l’ordre effectuée, leur quotidien est tout autre…

    Depuis le début de l’année, 47 policiers se sont suicidés à cause de leur mal-être. Les gardiens de la paix sont utilisés par le gouvernement pour faire la guerre aux opposants politiques alors que les ordres sont donnés de laisser la racaille en paix afin d’éviter les émeutes à tout prix.

    En 2013, le nombre d’agressions sur les forces de l’ordre a encore augmenté et représentent près de 41.000 faits de violences verbales, physiques et même sexuelles. Mais pourquoi ? Parce que la police fait son travail mais la justice ne suit pas. A peine arrêtés, les voyous sont relâchés par des juges rouges qui les voient comme des éternelles victimes de la vilaine société Française. Pas touche aux gauchistes et aux immigrés !

    Nous avons pu voir un exemple de l’abandon des forces de police récemment avec l’affaire Rémi Fraisse tué sur le site du barrage de Sivens par une grenade offensive de la police. Un décès est toujours triste, peu importe qui était la victime, mais alors que les agents présents sur place auraient dû avoir le soutien de leur hiérarchie, Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur de l’époque, a profité de ce drame pour supprimer un énième moyen de défense aux policiers. Rappelons tout de même que ces derniers étaient victimes de jets de bonbonnes d’acide et de cocktails Molotov.

    Les lois de l’indépendantiste Taubira font partie intégrante du problème. Certains policiers ne comprennent pas que « des gamins de 13 ans leur crachent à la gueule » en toute impunité. Mais surtout ne pas faire de vague, surtout si l’auteur du crachat est issu de l’immigration car dieu seul sait ce qui pourrait arriver. Les politiciens ont peur que de nouvelles émeutes semblables à celles de 2005 éclatent à nouveau sur le territoire et si fermer les yeux peut aider, alors faisons-le !

    Un autre exemple flagrant : prenez la tuerie d’Ottawa. Le chef de la sécurité du Parlement, Kevin Vickers, 58 ans, est présenté comme un héros par les médias et les politiciens pour avoir abattu mercredi le tireur présumé qui avait fait irruption dans le bâtiment fédéral. Une cérémonie en son hommage a même été organisée. Si cette catastrophe était arrivée en France, le policier qui aurait descendu le jihadiste aurait obtenu de terminer en garde à vue afin que l’on procède à son interrogatoire pour vérifier que le tir était bien justifié. Trouvez-vous cela normal ?

    Mais les véritables fautifs ne sont pas ces hommes et ces femmes de terrain, non. Le problème se situe bien au-dessus d’eux. Alors que d’un côté des ordres sont donnés pour gazer hommes, femmes et enfants lors de manifestations pourtant pacifiques, l’ordre inverse est systématiquement donné lorsqu’il s’agit de neutraliser des racailles souvent armées qui veulent à tout prix en découdre. Je comprends que ceux qui sont censés être garants de notre sécurité n’y comprennent plus rien et craquent sous la pression.

    Pour finir, je lance un appel : si un ou plusieurs policiers souhaitent témoigner, anonymement ou non, afin d’expliquer plus en détails la galère qu’ils vivent au quotidien, je serais heureux de publier leurs propos ici même. N’hésitez pas à relayer cet appel afin que les français comprennent mieux à quel point l’État nous a abandonné et nous préfère désormais des racailles sanguinaires qui ne rêvent que de nous éradiquer.

  2. Posté par IslamologyTeacher le

    « Un chauffeur manutentionnaire refuse, au nom de sa religion, de transporter de l’alcool. Un conducteur de bus n’accepte pas de toucher le volant si c’est une femme qui l’a précédé. Un autre ne veut pas leur serrer la main. Une aide à domicile met un point d’honneur à ne pas acheter la tranche de jambon pour la vieille dame dont elle s’occupe. » Tous ces cas n’ont rien à voir avec l’islam: soit ces personnes prennent la religion comme prétexte — la perspective est plutôt islamiste radicale et la visée politique, soit ne savent pas réellement ce qu’est l’Islam.

  3. Posté par aldo le

    La religion dans l’entreprise c’est son sabotage organisé sous forme d’attentat islamique silencieux, sans revendications, mais avec le maximum destruction. Ainsi Jean-Noêl Rey a été exécuté pour avoir voulu faire des cadeaux au Burquina… mais plutôt pour n’avoir pas voulu offrir aux musulmans qui noyautent DPD un vendredi libre pour aller à la mosquée. Et les autres n’ont qu’à bosser pour ces absents de conviction. Vous avez des preuves ? Creusez et vous comprendrez. C’est la meilleur pédagogie qu’on puisse offrir à un sceptique d’idéologie et non de pratique quotidienne, sans parti-pris.

  4. Posté par Bussy le

    Mais qu’est-ce que la religion peut bien avoir à faire dans l’entreprise ???
    Une preuve de plus de l’incompatibilité complète de l’islam avec l’Occident !

  5. Posté par Sitting bull le

    Moi je connais des entreprises qui licencient pour moins que sa ..

  6. Posté par Nicolas le

    Que les chantres de l’accommodement raisonnable aillent dans un des cinquante pays à majorité islamique exiger un congé pour Noël. Nous nous accommoderons de leur disparition.

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