« La Suisse pourrait accueillir trois fois plus de réfugiés », Mussie Zerai, candidat au Prix Nobel en 2015.

NDLR. Nos lecteurs nous prient de publier.

Candidat au Prix Nobel en 2015 pour son engagement humanitaire, le prêtre catholique Mussie Zerai, 42 ans, surnommé l'«ange gardien des migrants» par ses admirateurs, a fui l’Erythrée à 14 ans pour l’Italie, où il a obtenu le statut de réfugié politique et créé l’ONG Habeshia. Le Temps l’a rencontré à la résidence paroissiale d’Olten (SO), la base de ses activités en Suisse.

 

lien vers la suite de l'article du Temps, ici

12 commentaires

  1. Posté par Antoine le

    Malheureusement à force de tirer sur la corde, celle-ci va se rompre …
    Nous constatons, jour après jour, des excès et des incivilités de la part des migrants/immigrés et si ceux-ci ne sont pas jugulés par nos autorités, cela va méchamment déraper (pas sur le verglas !).

  2. Posté par Yolande.C.H. le

    Si la Suisse avait les moyens, comme l’affirme ce Zarai :

    -les paysans n’auraient pas besoin de se trouver un second emploi pour pouvoir s’en sortir financièrement.

    – les suisses n’auraient pas besoin de travailler sous une pression toujours plus grande, de suivre des formations continues pour rester dans le coup.

    -il n’y aurait l’obligation pour nombreux parents de travailler tous les deux pour pouvoir élever leurs enfants.

    -les impôts et les primes d’assurances ne prendraient pas l’ascenseur.

    -Le 75% des villes suisses ne seraient pas de plus en plus endettées.

  3. Posté par Aude le

    C’est qui celui-là , un migrant?

  4. Posté par rikiki le

    C’est l’aile gauche de Satan François ?…

  5. Posté par bigjames le

    Pourquoi que trois fois plus ?
    30 fois, 300 fois, 3000 fois plus, puisqu’on y est !
    On pourrait vider tous les continents aussi !
    Pourquoi s’arrêter à si peu. On a tellement d’espace et de moyen pour accueillir ces ingénieurs et médecins sans qui nous ne sommes rien.

  6. Posté par Gabrielle le

    Un prêtre qui a fui… Un exemple de foi et de confiance.

  7. Posté par Yolande.C.H. le

    Dans les rues de nos villes, ce ne sont pas les asiatiques que l^on voit flâner, canette à une main, un « phone » à l’autre main, on les voit bosser. On apprend que 90 % des réfugiés, dont les érythréens, sont à l’aide sociale. Si, en Erythrée, l’armée se doit surveille ses frontières, beaucoup de soldats sont mobilisés pour le maintien des routes, d’autres, employés dans des entreprises. Hypothèse: leur gouvernement les intègre-t-il pour les obliger à travailler ?

  8. Posté par Mauron le

    Réfugiés Erythréens ? Pourrait-on nous expliquer comment se fait-il que la Confédération finance à niveau d’un million cinq cent mille francs, à verser a l’Erythrée sur trois ans, une école professionnelle dans un pays sois-disant voyou et qu’elle entretien des relations diplomatiques à travers un consul honoraire Monsieur Toni Locher qui se dit lui-même « un ami proche du président Erythréen ? La naïveté des citoyens Suisses est incomensurable; tant est si bien qu’elle en devient quasiment émouvante !

  9. Posté par Socrate@LasVegas le

    @Christian Hofer: c’est exactement ça!
    Le pire est que les plus fragiles de nos sociétés sont ceux qui regardent le plus la SSR (en se nourrissant de la junk food indiquée par les pub diffusées par ces mêmes médias); ils sont donc magnifiquement manipulés contre leur propre intérêt, puisque parallèlement leurs emplois deviennent se précarisent et le social leur est de plus en plus difficile d’accès car ils sont « d’ici »…

  10. Posté par Yolande.C.H. le

    Migration jusqu’au XXème siècle : les gens cherchaient du travail et beaucoup se tuaient à la tâche.

    Aujourd’hui :

    –accueil dans des familles judicieusement choisies (= aisées ?). La solution la plus « simple, économique et efficace ». « Malheureusement, l’accueil des migrants est devenu un business, dont toute une série de fournisseurs de services tirent profit. On néglige les besoins des principaux intéressés. » C’est qui « 0n »: ceux qui bossent pour assurer avec peine les leurs, de besoins?

    –mise en place d’organisations qui peuvent les aider à résoudre leurs problèmes, qu’ils soient liés aux documents, à la santé, au travail, aux vêtements ou encore à l’apprentissage d’une des langues nationales. (les migrants d’antan l’apprenaient au travail)

    — favoriser l’intégration par la foi et les rites: ça permet d’acquérir un savoir-faire ?

    — projet de soutien psychologique, victimes de mauvais traitements ou les personnes souffrant de dépression ( ) ; des professionnels suisses de la santé mentale forment des leaders dans les communautés érythréennes afin qu’ils deviennent des agents en mesure d’identifier et de signaler les personnes vulnérables.» Jeunes, mais atteints dans leur santé; pendant ce temps,combien de retraités travaillent,pour beaucoup, bénévolement !

    — concours de théâtre, des compétitions de football, de basket ou encore de poésie. Les jeunes composent eux-mêmes leurs pièces et leurs chants, dans leur langue maternelle, le dialecte tigrigna; ce dialecte, c’est une plus-value pour que la Suisse puisse conserver ses moyens
    et qui, pour cette raison, devrait en « accepter le triple » ?

  11. Posté par Maurice le

    Qu’est-ce qu’ils cherchent finalement ces immigrationnistes à tout-va ? A ce que nous commencions à vomir chaque étranger qui entre dans notre pays ?

  12. Posté par Christian Hofer le

    Mussie Zerai milite pour les siens: il n’en a rien à fiche de l’Europe et démontre son immense mépris vis-à-vis du continent qui l’a accueilli. Que lui importent les problèmes des Suisses? les caisses maladie qui explosent pendant que tout est payé pour les réfugiés?

    Cela démontre à quel point ces gens se reconnaissent entre eux et ne nous feront aucun cadeau.

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