Si la Suisse cède à l’UE, elle peut disparaître

Frank Leutenegger
Journaliste, retraité RTS,  www.swissguns.ch

Si la Suisse cède, elle peut disparaître

 

Que se passera-t-il, si nous cédons et que l'Union européenne parvient à nous imposer cette loi sur les armes inutile liberticide, à la limite dangereuse pour la sécurité publique qu'elle prétend renforcer ?

 

Si nous cédons, ce sera comme la rupture d'un barrage ou d'une digue. Il deviendra impossible de lutter contre les exigences suivantes de l'UE.

 

On le sait, le projet suivant est déjà en préparation à Bruxelles. Il s'agit, au nom de la protection de l'environnement, d'une interdiction des munitions contenant du plomb. Les Américains en ont déjà vécu l'expérience: chargements peu convaincants, hausse considérable du prix des munitions vie des canons de fusils abrégée (surtout les fusils de chasse d'un certain âge).

 

Cette loi aussi, la Suisse l'acceptera au nom des acquis de sa soumission. Et ensuite ?

 

Ensuite on le sait aussi, c'est déjà en préparation: attaques contre le système bancaire suisse, attaques contre le système fiscal, contre les mesures de contrôle de l'immigration, contre la liberté d'expression, contre la liberté, tout simplement.

 

Et que fera la Suisse alors ? Elle sera entrée dans un engrenage qui mènera à sa destruction pure et simple. Décision après décision, liberté après liberté, Bruxelles remplacera Berne - et surtout le peuple suisse - comme organe de décision politique. Quand il s'agit de notre gouvernement, nous pouvons encore espérer que (certains de) ses membres ont l'intérêt du pays à cœur. Quand il s'agit de la Commission européenne on peut être certain qu'ils n'en ont rien à faire.

 

Et un jour, pas si éloigné que cela, un jour, nous n'aurons plus aucun droit à décider de notre sort. Et ce jour là, la Suisse, complètement phagocytée par l'Europe, n'aura plus vraiment de raison d'être. Dès lors, on pourra donner la Suisse alémanique à l'Allemagne, la Suisse romande à la France et le Tessin à l'Italie.

 

Mais avant ce jour là, je pense que certains d'entre nous lèveront l'étendard de la révolte, le drapeau suisse, qui, avec sa forme carrée, est en réalité un étendard de combat.

 

Frank A.Leutenegger, janvier 2018

 

30 commentaires

  1. Posté par jean le

    l auteur en dit des conneries voila pourquoi notre monde va si mal à cause de ces nationalistes nostalgique d’une certaine époque la réalité et bien autrement la suisse n est pas neutre,et un paradis fiscaux, nationaliste xenophobe,raciste, cela et bien une réalité que les média suisse cache sous le lit en montrant une jolie suisse avec de belle montagne et des gens heureux sans pauvreté , si la suisse ne veut pas de l union je suis d’accords avec sa,mes dans se cas l’union peut faire se quelle veut dans se cas comme plus aucun accords avec la suisse et une menace que qui conque fait du commerce avec se pays se vérra fermer les porte de l union point barre pas plus compliquer que cela si la suisse veut mettre 320 milles frontaliers a la porte quelle le face au lieux de menacer des gens qui non rien avoir avec ces politiciens corrompue .

  2. Posté par aldo le

    Allons les enfants arrêtez de vous battre pour rien. Je vous invite à lire aldo, ici https://lesobservateurs.ch/2018/01/14/les-immigrants-nous-apportent-une-nouvelle-sorte-de-tuberculose/
    Maintenant vous avez sûrement les compétences pour organiser une pétition nationale demandant de traduire l’intégralité du C.F., devant des tribunaux extraordinaires, pour trahison. Certes une pétition n’a pas beaucoup de valeur. Mais le fait que nos lois qui s’appliquent au profit des animaux doivent aussi s’appliquer aux hommes n’est pas si fantaisiste que cela, elle apporte tout simplement LEGALEMENT LA PREUVE QUE NOS GOUVERNANTS CONSIDÈRENT QUE NOUS SOMMES INFÉRIEURS AUX ANIMAUX. Pour l’exercice nous devrions même créer ce Tribunal spécial, pour juger de ces cas. Dans l’ordre juridique d’un Etat de droit, il ne peut y avoir de dispositions juridiques favorables aux animaux qui ne soient pas automatiquement applicables aux hommes si elles leur sont aussi favorables. Dans un conflit de loi, c’est celle qui est favorable au demandeur qui s’applique en priorité. La protection des animaux est déjà bafouée par le halal et le casher, ce n’est pas une raison pour continuer de bafouer nos lois pour se mettre au diapason des envahisseurs-colonisateurs. Dans les faits, la distinction entre droit des animaux et droits humains n’est pas si lointaine que cela. Taper sous google « lois protection animaux applicable aux hommes  » Ainsi les différences entre nègres et grands singes témoignent d’une évolution et d’un bagage génétique au moins partiellement commun et ce n’est pas parce qu’on ne parle pas singe, qu’il faut les considérer comme inférieurs. La race humaine doit être protégée même par les lois protectrices des animaux, ce qui n’est que bon sens. etc. à vous de développer chers lecteurs, car nous tenons là quelque chose de très pertinent.

  3. Posté par pierre le

    @Socrate@LasVegas
    Je n’ai pas eriger le texte de Mr Montabert pour souligner la candeur du citoyen suisse ,mais parce qu’il explique clairement que notre constitution est bafouee par nos representants politiques en toute impunite.  » Elle est devenue un bout de papier sans valeur » .Ce qui par consequent rend inutile toute initiative populaire qui contrarierait leur agenda europeen . C’est un fait !! On peut s’en rejouir ou le deplorer ,la n’est pas la question, mais ne pas le reconnaitre est ridicule et surtout dangerux, si nous voulons que notre pays survive.

  4. Posté par Socrate@LasVegas le

    @Pierre
    Je n’ai en effet pas cherché le 2ème degré dans les propos de Montabert puisque vous érigiez ce texte pour souligner la « candeur » du citoyen suisse ayant l’illusion de ne pas encore avoir été soudé à l’ue et surtout qu’il pourra choisir, lui!
    Je pourrais certes lire cet atlas et encore plein d’autres ouvrages…et devenir défaitiste avant même la bataille? Parce que je ne vois pas bien ce que vous défendez…et encore moins ce que vous préconisez? L’aquoibonisme?
    Moi je veux défendre ce en quoi je crois…
    (D’autres lectures: Les droits de l’homme contre le Peuple de Jean-Louis Harouel et Le radicalisme dans les mosquées suisses de Mireille Vallette)

  5. Posté par pierre le

    @Socrate@LasVegas
    Merci pour votre message, qui confirme que vous avez de bonnes lectures . Ceci dit, la votre est parfois trop litterale, car vous n’avez visiblement pas saisi le sens de l’article de Mr Montabert qui defend la constitution , supposant ironiquement que seul un politicien UDC est assez CRETIN pour la repecter . Certes, il aurait pu ecrire , pour etre plus clair que, seule l’UDC ne pisse pas dessus !
    Concernant le plan des elites qui dirigent l’Europe et, comme vous semblez avoir le souci de l’avenir de notre pays , je vous invite a vous procurer l’excellent ouvrage  » Atlas du mondialisme  » de Mr Pierre Hillard, meme si je crains que sa lecture trouble votre sommeil.

  6. Posté par lafronde le

    Amis suisses ! Conservez comme la prunelle de vos yeux, vos libertés concrètes ! Celle de porter les armes, celle de vous exprimer et de publier librement, celle de gérer le Bien commun près de chez vous : jamais plus loin que votre canton. Ce sont ces libertés concrètes, opposables à votre gouvernement fédéral, qui font de vous un peuple libre. Pour les même raisons que les américains sont libres grâce aux premiers amendements de leur Constitution.

    Ces libertés fondamentales manquent en Europe, particulièrement en France. Raison pour laquelle les politiciens français peuvent gaspiller la moitié des richesses produites dans ce pays.

    l’idée qu’une législation est plus sage, meilleure à l’échelle de la population qu’elle concerne, est définitivement une idée fausse. Les monopoles législatifs s’avèrent source d’abus. Cour Suprême aux US, Cour européenne de Justice, Cour de Cassation en France.

    En fait le citoyen a intérêt à faire jouer la concurrence législative, voire judiciaire.
    C’est ce que font les entreprises, et cela est loué comme étant le marché mondial. Il est temps que les citoyens sédentaires du monde entier fasse eux aussi jouer cette mise en concurrence des système public. Le seul moyen de le faire sans devoir émigrer, est d’obtenir de son Etat national une meilleure subsidiarité. Et pour les Etats fédéraux, de conserver et de renforcer cette spécificité précieuse.

  7. Posté par Socrate@LasVegas le

    @Isabel: Merci pour le lien mais qu’en pensez-vous?
    Une « déclaration de Paris » (capitale du pays armant les « fichés S »et voulant réformer la loi sur les armes en Suisse!!!) refusant de reconnaître le péril de l’invasion musulmane…
    Je n’ai aucune envie de cette Europe-là !

  8. Posté par Socrate@LasVegas le

    @Pierre
    Merci pour vos arguments mais…rien de nouveau! J’ai lu le crépuscule de la banque nationale suisse, entre autres; ce que je ne m’explique pas c’est votre défaitisme avant la bataille, votre relative ambigüité concernant les médias, le fait que pour Montabert, donc pour vous, les politiciens UDC soient « des crétins »…alors que l’UDC est le seul parti soulignant les conséquences catastrophiques et irréversibles d’un éventuel rapprochement avec une ue se délitant depuis le Brexit et de plus en plus contestée de l’intérieur même…
    Votre vision de la Suisse doit être difficile à vivre pour un patriote ! D’autres ne sont pas si désabusés et pensent même que la Suisse n’est pas perdue puisqu’ils ont décidé de se battre : refus d’adhésion à l’ue, refus de la modification de loi sur les armes, refus de l’accord cadre (donc des juges étrangers ) tant espéré par l’ue…
    Je suis de leur avis et décidé à me battre pour cela. Les tensions s’accentuant entre le peuple et les « élites » cristallisent les positions et prouvent que la vraie bataille pour la Suisse n’a pas encore eu lieu…Si la Suisse n’a pas voulu de l’ue, c’est qu’elle ne veut pas renoncer à son indépendance. L’heure n’est plus aux querelles de partis, il faut voter utile (puisqu’on le peut encore)…et être prêts à ne pas en rester là.

  9. Posté par philippe le

    Ils ont bien trop peur que le peuple se prononce. De toute façon ceci arrivera , ils doivent s’attendre à une période de turbulences , Le peuple doit se préparer. Il faudra que la gauche cesse de nous trahir !!!

  10. Posté par pierre le

    Ce que ne dit pas l’article de Mr Montabert , c’est que le debut du cauchemar date du 12 decembre 2007 ,date a laquelle, suite a une reunion secrete entre les partis de gauche et du centre, le conseiller federal UDC Blocher a ete elimine du conseil, en meme temps que la fameuse formule magique du parlement.
    Contrairement a d’autres pays , la revolution Helvetique , s’est faite sans violence et, sans trop de bruits ,les medias etant deja sous controle ,mais les effets en sont d’autant plus pervers , car le peuple continue de croire qu’il est toujours dans une democratie , ce qui permet de continuer d’en faire vivre l’illusion.

  11. Posté par pierre le

    @Socrate@LasVegas
    voici un copier coller d’un article de l’excellent blog de Mr Montabert , qui illustre parfaitement la situation concernant notre constitution et qui repondra mieux que moi a vos objections :

    Le peuple suisse, cocu content ?
    Après sept heures de débat mercredi le Conseil National a finalement entériné la loi d’application de l’initiative « Contre l’immigration de masse » – une loi tellement vide de contenu que personne, pas même les parlementaires qui l’ont votée, n’ose prétendre qu’elle respecte la Constitution.

    Un tel aveu constitue une première. Comme le relevèrent certains UDC à Berne, pareille situation pose la question du serment que prêtent les parlementaires au début de leur mandat, lorsqu’ils jurent de la défendre. Selon l’article 121a de la Constitution, la Suisse doit gérer de façon autonome son immigration. Il instaure la préférence nationale en matière d’emploi et des plafonds annuels d’immigration toutes catégories confondues – dont l’asile et le regroupement familial – et enfin, empêche le pays de signer tout traité contraire à ces dispositions. Le peuple suisse connaît bien le texte suite à l’énorme campagne qui eut lieu en 2014 autour de l’initiative contre l’immigration de masse.

    A contrario, la loi d’application qui sera prochainement sous toit demande que les offres d’emploi soient publiées aussi auprès des offices régionaux de placement. C’est à peu près tout.

    La Constitution avait déjà été allègrement violée au mois de mai lorsque le Conseil Fédéral décida de voter l’extension de la libre-circulation à la Croatie. A cette occasion, il contrevint de façon flagrante et indiscutable à l’article constitutionnel, en plus de renier ses propres engagements du lendemain du 9 février.

    L’UDC hurla son indignation dans l’indifférence générale. Avec leur profondeur de réflexion coutumière, les médias se réjouirent ce cette déconvenue. Le grand public, lui, resta parfaitement apathique. Il n’y avait donc aucun doute que cette entorse à la Constitution ne serait pas unique. Nous en avons un nouvel exemple aujourd’hui. Il sera suivi de beaucoup d’autres.

    Écrivons-le en toutes lettres: la Constitution helvétique n’est plus qu’un morceau de papier sans valeur. Un texte inspirant l’action politique, mais de façon abstraite, sans contraintes. Une sorte de feuille de route purement symbolique dont chaque dépositaire de l’autorité – gouvernement, parlement, justice – pourra s’éloigner autant que nécessaire, selon ses objectifs idéologiques et politiques du moment.

    Pour la classe politique, les avantages sont immédiats: les initiatives populaires relèvent désormais du folklore. Par exemple, la récente initiative pour la « primauté du droit suisse » sur le serpent de mer du droit international n’a plus aucune raison d’être. Qu’elle soit refusée et on s’en réjouira ; qu’elle soit acceptée et on l’inscrira dans la Constitution avant de l’ignorer royalement.

    Les politiciens ne prennent même plus cet air contrit qu’ils arboraient au lendemain d’initiatives populaires gênantes, comme l’internement à vie des criminels dangereux ou l’interdiction pour les pédophiles de travailler avec des enfants. L’expression populaire n’est déjà plus qu’une démonstration d’humeur ponctuelle que seul un crétin, un politicien UDC par exemple, prendrait au sérieux.

    Les faits donnent raison à ceux qui méprisent la démocratie directe. Le peuple vote pour des initiatives et élit ensuite des représentants qui les foulent aux pieds. La faute en revient évidemment à la classe politique et aux médias, mais la responsabilité finale incombe indiscutablement aux électeurs qui choisissent d’être cocus.

    Les protestataires les plus lucides continueront bien évidemment à se tourner vers l’UDC, la gratifiant d’un ou deux pourcents supplémentaires tous les quatre ans, mais cela n’a guère d’importance. À ce rythme un basculement du rapport de force n’arrivera pas durant ce siècle, la majorité des deux tiers du centre-gauche du Parlement continuant entre-temps à faire comme bon lui semble.

    Qui s’avoue réellement surpris par ce qui se passe à Berne? Les signes de cette dérive, nombreux et concordants, s’étalent devant nos yeux depuis des années. L’épisode de l’immigration de masse n’est qu’une étape supplémentaire, médiatiquement porteuse car concernant un sujet qui cristallisa le débat en son temps.

    Ce mercredi, malgré un débat-fleuve, la partie était jouée depuis le début. Tous les partis politiques hormis l’UDC choisirent de ne pas prendre le risque de se fâcher avec Bruxelles, de ne pas renégocier le sujet de la libre-circulation avec l’UE, d’ériger les bilatérales en Veau d’or intouchable. L’Union Européenne n’a même pas eu à hausser le ton: les négociateurs helvétiques ont capitulé en rase campagne, avant que le moindre coup de feu ne soit tiré, avant même que l’étendard de l’adversaire ne soit aperçu. Cinglant contraste avec le courage anglais…

    En 1992, les Suisses votèrent contre l’adhésion à l’Espace Économique Européen. Depuis ce fâcheux accident, la classe politique travaille à rendre le pays euro-compatible et à lier les mains de ce peuple revêche, redéfinissant la signification de la démocratie directe au besoin. Par habitude, naïveté et pusillanimité, la grande masse des citoyens laisse faire.

    On a refusé à la classe politique l’honneur de devenir membre de l’Union Européenne ; elle choisit aujourd’hui d’en devenir l’esclave – et tant pis s’il faut jeter la Constitution aux orties pour cela.

  12. Posté par Socrate@LasVegas le

    Et, évidemment refuser tout accord cadre avec la dernière énergie!
    La Loi Suisse c’est ce que décident les Suisses, il ne faut pas laisser les autres décider à notre place…surtout pas nos zélus et leurs « femmes-quota » 😉 fuyant le conflit à n’importe quel prix comme le leur impose leur nature…donc fatalement prêtes au « lâcher-prise » donc à la compromission!

  13. Posté par Socrate@LasVegas le

    @Pierre
    « L’UE n’est pas en deroute , elle est en phase de metamorphose en Euroregions »
    Oui tout à fait, c’est la phase suivante du plan de SES « élites » mais de moins en moins celui des Peuples et plus du tout celui du Peuple suisse…Qui lui détient toujours son avenir et n’a plus de doute sur les traîtres desseins du conseil fédéral.

    « On croit qu’on a affaire a des idiots losqu’on regarde nos responsables politiques, mais on ne peut que deplorer le genie de ceux qui les manipulent, quand on les connait. »
    C’est certain mais le Peuple suisse a la chance immense de ne pas avoir bradé sa Constitution en échange de ce projet « de merveilleux avenir commun prospère en toute sécurité » qu’était censé être l’ue. Il est toujours aux commandes mais sa DERNIERE chance c’est maintenant: il faut DENONCER SCHENGEN + BILATERALES ASSOCIEES!!

  14. Posté par toyet le

    La Suisse est morte, les ordres viennent de Bruxelles, il faut impérativement refuser RI3, la réforme des retraites, l’immigration, la LAT, la loi sur l’énergie, reprendre le contrôle de la BNS. . Bon courage

  15. Posté par pierre le

    Oui , ne soyons pas pessimistes , mais : Un demi million de muzzs et (combien de criminels?) hantent nos rues ,l’ensemble du conseil federal , ainsi que les 3/4 des responsables politique et des corps constitues font partie de la secte ( voir la ceremonie du Gothard ) , les sections d’assaut collabos antifas interdisent tout rassemblement suspect de patriotisme ,notre armee est une peau de chagrin ( les derniers chars de combat qu’il nous reste sont ceux de la gay pride ), les frontieres sont grandes ouvertes, nos banques systemiques sont au bord du gouffre et ne resisteront sans doute pas a la prochaine crise financiere deja prevue , nos reseves d’or ayant ete bradees prealablement (avec l’accord du peuple), etc… Evidement, il reste a desarmer le peuple , c’est un imperatif , sans doute le dernier et , comme pour les criminels etrangers, ou l’immigration de masse, le rouleau compresseur merdiatique aux ordres saura persuader les moutons roses, pendant que le conseil federal fera du bon boulot .
    L’UE n’est pas en deroute , elle est en phase de metamorphose en Euroregions .
    On croit qu’on a affaire a des idiots losqu’on regarde nos responsables politiques, mais on ne peut que deplorer le genie de ceux qui les manipulent, quand on les connait.

  16. Posté par Socrate@LasVegas le

    M’enfin! Avez-vous fini de parler en perdants!?
    Notre avenir sans Schengen est à bout touchant, l’ue est en déroute, chaque jour un peu plus…Nous Suisses, avons encore ce choix! Ne dit-on pas: « Aide-toi et le ciel t’aidera »?

  17. Posté par pierre le

    Apres sa neutralisation , la Suisse sera , comme tous les autres pays de la zone euro,
    reconfiguree en plusieurs euroregions autonomes , chacunes membres du parlement europeen .
    Bien sur, a terme , la notion de nation telle que nous la connaissons aujourd’hui aura disparu.

  18. Posté par Aware le

    Comme l’immigration massive continue de plus belle, avec comme corollaire des naturalisations à la pelle (avec double nationalité), je pense que, en effet, la Suisse va se disloquer ! « 700 ans, ça suffit ! » n’était pas seulement un slogan provocateur. Il traduisait la véritable volonté de LA force de l’ombre qui décide tout. Et la Suisse n’est pas tolérable dans l’UERSS !

  19. Posté par pierre le

    On pourrait comparer cette loi, a l’obligation de bruler les derniers gilets de sauvetage a bord du Titanic, pendant que dans les salons ,Sommaruga et son orchestre nous joueraient l’Ode a la joie .
    Et puis , si le peuple semble reticent ,une nouvelle affaire Daillon serait tellement regrettable…

  20. Posté par Maurice le

    Y feront quoi, les socialistes, sans Suisse à détruire ? Ils se suiss-ideront ?

  21. Posté par Socrate@LasVegas le

    C’est le moment d’adhérer à ProTell…la cotisation pour 2018 n’est que de CHF 50.-!

  22. Posté par Fleeps le

    Ou remplacer le plomb par du des boules de glyphosate

  23. Posté par Peter Bishop le

    La technique des couches successives, comme pour les revendications lgbt qui commencent par reconnaitre la normalité de l’homosexualité et qui termine 50 ans plus tard par la légalisation de la pédophilie…

  24. Posté par Christian Hofer le

    C’est exactement la situation que voulaient les socialistes: que nous soyons ferrés au travers d’accords « inoffensifs » qui en appelaient d’autres.

    Et les socialistes l’ont clairement dit il y a de cela 10-15 ans « Les Suisses ne veulent pas entrer dans l’Union Européenne mais nous savons comment faire. »

  25. Posté par aldo le

    C’est une évidence, et même Kadhafi l’a exprimé, il fallait que la Suisse soit explosée en remettant aux pays voisins son territoire, selon les régions linguistiques. Avant qui soit trahi par ses meilleurs copains européens, comme Sarkozy, Berlusconi & Cie. Mediapart doit parfois utiliser des vérités pour être encore crédible. Vous pouvez piocher et sélectionner ici quelques infos https://blogs.mediapart.fr/jocegaly/blog/140614/pourquoi-kadhafi-t-il-ete-assassine

  26. Posté par Antoine le

    La loi suisse sur les armes n’est PAS négociable !

  27. Posté par JeanDa le

    C’est clair, imparable, simple, et facilement compréhensible … enfin … à partir du QI « cf+x » !

  28. Posté par marcel le

    Si nos élus au cf ont besoin d’inspiration dans leurs negotiations avec l’UE, ils peuvent prendre exemple sur l’excellent argumentaire de monsieur Orban dans cette video qui s’appliquent aussi bien pour son pays que pour la Suisse (a partir de la minute 5:00). Apprenez et agissez: https://www.youtube.com/watch?v=XSK4ju6BUqM

  29. Posté par Derek Doppler le

    On pourrait remplacer le plomb par de l’uranium appauvri, visiblement son usage est bio puisque personne à Bruxelles ne semble s’en plaindre. C’est génial comme munition, il y a plus de civils qui en crèvent après les tirs que de combattants durant les combats.

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