Berlin: Une femme de 60 ans tuée. Le suspect est un Tchétchène multirécidiviste qui aurait dû être expulsé.

Klaus Rasch et Susanne Fontaine ont été inséparables durant 40 ans. Puis elle a été séparée de lui. La femme âgée de 60 ans a été attaquée dans le zoo de Berlin et tuée. L'auteur présumé est un Tchétchène qui n'aurait même pas dû se trouver en Allemagne.

Il y a quelques semaines, le 5 septembre 2017, Susanne Fontaine, historienne de l'art, a été agressée et tuée dans le zoo de Berlin. Ilyas A., un homme de 18 ans provenant de Tchétchénie, a été arrêté. La dépouille de Susanne Fontaines a été découverte seulement trois jours après sa disparition dans le zoo berlinois.

Depuis ce jour, la vie de Klaus Rasch est comme éteinte. Ils étaient en couple depuis 40 ans. L'homme de 66 ans avait fouillé les environs le soir où Susanne Fontaine avait fait ses adieux à ses amies.

Sa Susanne est morte, probablement étranglée. "ça fait si mal, on ne peut pas du tout se l'imaginer", déclare Klaus Rasch.

"Soudain, 40 ans défilent en accéléré. Tout ce que nous avons vécu et tout ce que nous avons fait. Et tout a été soudain biffé avec un gros trait noir".

Actuellement, le mémorial est l'endroit le plus important pour Klaus Rasch. A cet endroit, il ressent la douleur encore différemment: "Je sais qu'elle a subi ici les dernières minutes douloureuses de sa vie."

Le soir du 5 septembre, Susanne Fontaine avait rencontré trois amies à la Cruche d'Ecluses, un lieu de rencontre populaire dans le zoo berlinois. Mais elle devait travailler le lendemain matin tôt. Ainsi le groupe s'était mis en route vers 22 heures. "Susanne a dit qu'elle voulait aller jusqu'au bus", se souvient son amie Olga Pieloth. "Elle s'est encore retournée et a fait signe de la main. C'est la dernière fois que nous l'avons vue vivante". Susanne Fontaines devait seulement marcher 500 mètres sur un chemin éclairé pour atteindre l'arrêt de bus à l'Hardenbergplatz.

Ce qui lui est exactement arrivée est encore flou. Ce qui est sûr, c'est qu'elle n'est jamais arrivée chez elle. Son mari a tout de suite su que quelque chose était arrivé.

(...)

La police pense que le motif était le vol. L'auteur présumé Ilyas A. a volé le téléphone cellulaire et 50 euros. Il a été reconnu coupable sur la base de preuves ADN.

(...)

Rien qu'en 2015, il a été condamné à sept reprises en l'espace de deux mois, a déclaré Burkard Dregger, membre de la Chambre des représentants de Berlin et président de la commission d'enquête dans l'affaire Anis Amri. "Y compris pour des actes de violence vraiment abominables contre des personnes âgées, contre des vieilles femmes qui étaient seules. Il les a volées et il les a frappées. "

Le 8 septembre, 2015, le tribunal de district de Berlin avait condamné Ilyas A. à 18 mois de prison, après quoi il devait être expulsé. Lorsque le jeune de 17 ans a été libéré en décembre 2016, il ne s'est rien passé. En Russie, ni les institutions sociales, ni les membres de sa famille n'ont souhaité l'accueillir.

Burkard Dregger déclare « Dans ce genre de cas, notre droit de séjour prescrit que l'expulsion ne peut avoir lieu. »

Ilyas A. a eu 18 ans le 10 août 2017. Toutefois, les mesures nécessaires à l'expulsion n'ont apparemment pas été prises. Quatre semaines plus tard, Susanne Fontaine était morte.

 (...)

Source et article complet Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

9 commentaires

  1. Posté par Etienne le

    La société qui nous est imposée ne permet qu’on se passe encore de la peine de mort.
    D’ailleurs, cette « humanité » que nous avons considéré comme un progrès, elle est profondément méprisée par les nouveaux-venus.
    Pour être respecté de ces gens-là et – au besoin – débarrassé, il faut rétablir la peine de mort.

  2. Posté par maury le

    Jusqu’à quand allons nous supporter l’assassinat de nos concitoyens et la démission de ceux qui sont sensés nous protéger ???Il est plus qu’évident, que ceux qui détiennent le pouvoir, ont décidé de nous faire éliminer, ou faire en sorte qu’une guerre civile éclate!!!Ils savaient sciemment qu’en faisant venir cette horde sauvage et criminelle ce serait désastreux .Leur plan est diabolique!!!! pour cette raison ,nous avons l’obligation de les juger pour non assistance à peuple en danger.

  3. Posté par Sitting bull le

    tous les jours l islam depuis sa naissance fait des victimes qui s ajoute au milliard de mort par cette idéologie depuis son commencement , on ne compte plus les victimes blanches de cette secte mortifère et son cortège de mort , les gauchistes en son responsable et devrait être pendu pour ce qu ils ont fait a leur peuple , quand au meurtrier si la peine de mort existait il l aurai mérité 100 fois

  4. Posté par Alain le

    Un jour ce qui s’est passé en Italie va se généraliser. Le peuple ne va pas supporter cela encore très longtemps.

  5. Posté par Question le

    ça dort bien un policier et un juge allemand après ça ? et la sale merkel , toujours bon coup de fourchette ?

  6. Posté par Dupond le

    Suzanne ne voulait pas admettre que nous vivons une occupation imposée par des politicards corrompus et une justice collabo qui absout les muzz et persécute les nationneaux . Toutes les femmes devraient avoir la bombe lacrimo dans le sous tif et a la premiere gifle que le scélérat lui balance ,vaporiser a outrance ….ça ne tue pas mais ça permet de surprendre la charogne et d’appeler de l’aide . Nous ne vivons pas une époque ou les imigrés sont des gens civilisés comme le furent les espagnols pendant la guerre civile ou nos portugais ,italiens et polonais d’apres guerre ….Nous sommes envahit par des racailles qui sont rejetés de leurs nations et savent qu’ils seront soutenus dans nos pays de découillés popérisés par la CEDH

  7. Posté par Antoine le

    A cette racaille, il lui reste assez de temps à passer (à nos frais) derrière les barreaux !
    Les juges qui n’ont pas expulsé cette racaille sont complices, ils doivent être jugés à leur tour.
    A la famille mes condoléances.
    Armons-nous pour nous défendre !

  8. Posté par UnOurs le

    En Papouasie, quand un homme avait un proche tué par quelqu’un d’un autre village, il partait avec le cadavre pour s’installer quelque part entre les deux villages et il restait là jusque à ce que le corps entre en putréfaction. De telle sorte à ce que sa peine se transforme en une vraie colère, à voir l’être aimé près de soi se décomposer sous ses yeux.
    Pas de marches blanches en Papouasie, mais des colères noires.

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